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La majorité des lins au stade 10 cm, des fortes températures et une absence de pluie : les conditions sont réunies pour que le risque oïdium s'exprime dans les linières. A surveiller de très près par des visites fréquentes des parcelles et décider,...
Les premières parcelles de blé tendre et blé dur atteignent l’épiaison, stade marquant le début de la surveillance des cécidomyies. Les conditions actuelles – températures en hausse et temps orageux – sont d’ailleurs en leur faveur. La pose de...
Cette année, le risque rouille jaune est particulièrement élevé. Il est important d'adapter son programme fongicide à l'approche du stade dernière feuille étalée (DFE).
Les stades des céréales s’échelonnent actuellement entre épiaison et début remplissage.
Les symptômes de maladies, particulièrement les rouilles, peuvent être désormais bien observés sur les céréales. Les parcelles doivent avoir été protégées au moins une fois à floraison contre les maladies du feuillage et/ou de l’épi.
Des facteurs agronomiques et climatiques influencent le risque de fusarioses des épis sur blé. Une grille d’évaluation permet de décider si un traitement est nécessaire ou non.
Les observations réalisées dans le cadre du Bulletin de Santé du Végétal (BSV) montrent que la pression des maladies foliaires reste modérée pour le moment, avec toutefois quelques situations à surveiller. Les premières parcelles atteignant le stade...
La pression maladies s’intensifie peu à peu sur blé dur, notamment concernant la septoriose et les rouilles. Des symptômes physiologiques peuvent également être observés.
A la faveur des températures douces de la semaine dernière, les altises sont à nouveau actives, avec des morsures observées dans les linières. Une visite des parcelles est incontournable pour évaluer le niveau de risque.
Bientôt le stade 2 nœuds pour les parcelles de blé tendre les plus précoces : c’est le moment d’estimer le risque septoriose et rouilles.
Des symptômes de rouille jaune sont observés sur céréales depuis le début de la montaison. Les conditions climatiques étant propices au développement de la maladie, la vigilance est de mise.
Rouille brune et septoriose sont déjà présentes sur blé tendre, tandis que la rouille naine sévit sur les orges. Rappel des stratégies de lutte.
Dans le contexte 2022, le risque maladies est globalement modéré sur blé tendre et orges, et faible sur blé dur.
Alors que le risque de verse est faible en blé dur, il est à un niveau moyen en blé tendre et fort en orges d’hiver. La grille ARVALIS permet de faire une estimation à la parcelle, en tenant compte des facteurs d’influence.
Le week-end du 2 avril, une vague de froid s’est abattue sur la France et le Sud-Est n’a pas été épargné. Les températures sont descendues jusqu’à -6°C sous abri dans les Alpes de Haute-Provence. En plaine elles ont stagné autour de 0°C sous abri...
La chute brutale des températures, survenue entre le 1er et le 4 avril dernier après une brève période quasi-estivale, intervient sur des céréales en pleine montaison.
A la faveur des températures des semaines passées, les altises ont été observées dans les premières parcelles semées en lin fibre de printemps. Leur activité devrait être freinée, voire arrêtée, en raison du retour du froid. Tout comme la croissance...
Les céréales sont au stade épi 1 cm, ou presque. Si l’estimation du risque de verse aboutit à l’application d’un régulateur, il est impératif de porter une attention particulière aux conditions climatiques.
A la faveur des températures douces de la semaine dernière, les semoirs à maïs étaient de sortie, notamment en Beauce. Rappelons que le choix d'une implantation précoce doit se baser sur une fine analyse des benéfices/risques pour chaque parcelle.
Plusieurs secteurs, notamment la côte nord, sont concernés par des symptômes de rouille jaune sur blé tendre. La variété semée va déterminée la stratégie d'intervention.
En raison des chantiers de semis très échelonnés cet automne, les stades du blé dur affichent un peu de retard, qui reste toutefois minime.
Pour le moment, le risque maladies est faible sur blé dur. La vigilance reste de mise avec l’évolution du climat.
Selon les modèles de prévisions, le risque climatique de piétin-verse est globalement faible. Une estimation à confirmer ou infirmer selon les facteurs agronomiques, avec si nécessaire, un tour de plaine pour un diagnostic en direct.
Le corbeau freux et la corneille noire sont les deux principales espèces de corvidés qui peuvent être à l’origine de dégâts significatifs sur les semis de maïs. Face à ce risque difficilement prévisible et maîtrisable, certaines précautions sont...
La pyrale du maïs se développe dans les zones de production du maïs fourrage. Son incidence sur le rendement et la qualité peut être forte. Il est nécessaire d’observer attentivement ses cultures, de se renseigner sur le déploiement potentiel du...
A l'approche du stade 1 nœud, c'est le moment d’évaluer le risque verse sur les orges d'hiver. Un diagnostic est indispensable avant toute décision d’intervention.
Hormis sur des parcelles à fort potentiel et/ou sur des variétés sensibles à la verse, il est plutôt déconseillé dans notre région d’utiliser des régulateurs. Ces produits, utilisés de manière inappropriée, peuvent entraîner des pertes de rendement....
Aucun apport d’azote n’est à prévoir sur céréales pour le moment : priorité aux désherbages et à la régulation des parcelles à risque, dans l’attente du retour d’un climat plus favorable à la valorisation des apports azotés.
Zoom sur l’impact du climat de cette campagne sur le risque verse en céréales, avec les clés pour décider de l'intérêt d'un régulateur.
Sous l'impulsion de cumuls de température excédentaires depuis le début de l’année, les céréales sont en avance. Les stades restent très échelonnés au sein des parcelles : entre épi 1 cm et 2 nœuds actuellement.
Les premiers semis du Centre ont déjà atteint le stade épi 1 cm, avec une légère avance par rapport à la médiane des vingt dernières années ; et les semis intermédiaires devraient l’atteindre d’ici la fin de la semaine. En Auvergne et Ile-de-France,...
Plusieurs paramètres jouent sur le risque de verse : type de sol, variété, nutrition azotée et biomasse en fin de tallage. Les semis très précoces sont davantage exposés cette année que les plus classiques.
Des symptômes précoces de rouille naine sont signalés sur orges. Mieux attendre au moins le stade 1 nœud pour analyser le risque et agir si besoin en prenant en compte la sensibilité variétale et les autres maladies éventuellement présentes.
Le point sur la situation maladies dans les parcelles de blé tendre et d’orges, avec un rappel sur les stades et seuils d’intervention.
Les céréales atteignent le stade épi 1 cm ou très prochainement. C’est le moment d’évaluer le risque de verse pour décider d’une application de régulateur ou non.
Les parcelles de blé tendre entament leur montaison. A ce stade, il est recommandé d’évaluer le risque pour décider s’il est nécessaire d’appliquer ou non un régulateur.
Dans la plupart des situations, les stocks d'azote du sol sont en mesure de couvrir les besoins des céréales jusqu’à fin mars. Il n’y a aucune urgence à fertiliser. Il y a même un risque de mauvaise efficacité en cas d’apport de dose importante....
A l’heure des premiers apports d’azote, c’est le moment de s’interroger également sur les besoins en soufre des céréales.
En céréales, les premiers apports d’azote sont déjà terminés dans les secteurs les plus au sud et se poursuivent actuellement partout ailleurs sur la région. Pour le soufre, élément qui a un comportement assez similaire à celui de l’azote, c’est le...
Sur les parcelles de blé dur encore non désherbées, une intervention est à réaliser dès que les conditions le permettent, avant tout apport d’engrais.
C’est le moment de penser aux apports de soufre sur les parcelles de céréales à risque.
Les digestats issus de la méthanisation peuvent être utilisés comme fertilisants et amendements organiques. Leur composition varie avec le substrat utilisé pour obtenir du biogaz. Cependant ils présentent un risque de pertes d’azote par...
La productivité des linières peut être affectée par de nombreux bioagresseurs. Le point sur les dernières avancées en matière de gestion des altises, de la septoriose et des mauvaises herbes.
Malgré le redoux enregistré fin décembre, la majorité des parcelles de céréales devraient être épargnées par la présence des pucerons et donc, ne nécessiteraient pas d’intervention.
Cause importante de pertes de rendement et de qualité du lin, la verse physiologique est très souvent imputée à des phénomènes climatiques exceptionnels (orages, pluies excessives, etc). Ces facteurs ne sont en fait que les révélateurs d’une culture...
Malgré les conditions fraîches et pluvieuses, les pucerons et les cicadelles sont toujours en activité.
Des solutions existent pour limiter l’impact de l’utilisation des produits phytopharmaceutiques sur les ressources en eau. La réalisation d’un diagnostic des modes de circulation de l’eau sur une parcelle est la première étape pour élaborer une...
La protection des céréales à paille contre la jaunisse nanisante de l’orge repose sur la lutte préventive puis, si besoin, sur la lutte directe contre les pucerons vecteurs de virus. Nathalie Robin, spécialiste de la protection contre cette maladie...
Bien que la fraîcheur actuelle soit défavorable aux pucerons et cicadelles, ces ravageurs sont toujours présents et la vigilance doit être maintenue sur les jeunes céréales.
Baisse des températures, pluie… les conditions climatiques actuelles ne sont pas très favorables aux pucerons d’automne. Un redoux n’est pas à exclure, mais dans tous les cas, ce n’est qu’à partir des observations et selon les seuils de risque que...
Ces ravageurs sont déjà présents dans les parcelles de céréales en cours de levée ou à semer. A surveiller !
Les graminées adventices sont sensibles à l'ergot et peuvent amener des sclérotes dans toutes les cultures. Un désherbage minutieux de la parcelle réduit donc le risque de contamination des céréales.
Les pluies redonnent de l'appétit aux limaces ! Un suivi régulier est recommandé pendant la levée des céréales.
Privilégier certaines molécules plutôt que d'autres, en s'appuyant sur leurs caractéristiques intrinsèques, permet de réduire les risques de pollution diffuse. En effet, l’interaction entre les molécules, le milieu et les pratiques culturales,...
La douceur actuelle favorise l’activité des pucerons dans les céréales en cours de levée. Surveiller de près les parcelles pour décider, selon les seuils, si un traitement est nécessaire ou non.
Alors que les parcelles d’orge et de blé tendre ont commencé à lever, les premières attaques de limaces sont signalées. Le risque encouru va dépendre de plusieurs paramètres. Avant d’agir, une surveillance fine est à prévoir, par piégeage ou par...
De la transmission du virus de la JNO par les pucerons, aux méthodes agronomiques pour réduire le risque, jusqu’à l’observation au champ pour déclencher la lutte insecticide au bon moment… faites le tour de la problématique jaunisse nanisante de...
La réglementation est en cours d’évolution concernant les seuils de DON (désoxynivalénol) en production de blé dur. A l’approche des semis, voici ce que l’on peut mettre en place dès les implantations pour réduire les risques.
Les semis de céréales sont en cours, le soleil brille, malgré les températures moyennes fraîches. Dès que les premières plantes pointent, il faut aller visiter les parcelles pour observer la présence de pucerons, d’autant plus par beau temps, et...
Alors que les sols sont encore secs et les prévisions de pluies peu élevées, il est judicieux de positionner ses semis de céréales fin octobre pour limiter les risques vis-à-vis des bioagresseurs (ravageurs, adventices, maladies…). Pour les...
Les récoltes tardives de maïs grain conduisent à une augmentation du risque de dégradation de l’état sanitaire. Pour identifier les situations à risques et préserver la qualité de la récolte, l’utilisation des outils de gestion du risque est...
Si la pression pucerons est restée modérée pendant la campagne céréales 2020/2021, ce n’est pas dit que ce sera la même tendance pour les semis à venir. Car ce sont bien les conditions climatiques qui influencent fortement la présence des ravageurs...
A la faveur des conditions pluvieuses de cet été, l’activité des limaces s’est maintenue. Même si c’est plutôt sec en ce moment, le risque existe. La vigilance est donc de mise en cette période de semis-prélevée des céréales. Le piégeage est un bon...
La campagne de maïs grain est tardive cette année. Malgré tout, les récoltes ont déjà commencé avec un taux d’humidité supérieure à d’habitude. Face à l’augmentation des prix de l’énergie, peut se poser la question d’attendre encore quelques jours...
Dans notre région, pour bien faire, il faudrait que les terres soient prêtes à être semées dès le 10 octobre pour capter le moindre créneau optimal de semis. Rappels des principes importants à avoir en tête pour préparer le lit de semences et...
L’implantation est une étape clé dans la réussite de la culture du lin fibre d’hiver. Structure du sol, date et densité de semis… autant de paramètres à prendre en compte pour optimiser les levées et esquiver les risques climatiques.
Alors que le mildiou est observé sur le feuillage de pommes de terre, et parfois sévèrement, des symptômes commencent à être signalés également sur les tubercules.
Le nouveau numéro d’ARVALIS & Terres Inovia infos est disponible. Il propose des recommandations issus des instituts techniques sur les opérations culturales des prochaines semaines.
Si la présence de ce champignon dans la récolte ne constitue pas systématiquement un danger, des mesures s’imposent pour réduire les risques pour les années suivantes dans les parcelles contaminées.
Tout au long de leur cycle, le blé tendre et le blé dur peuvent être affectés par différentes maladies. Les caractéristiques biologiques de chacun des pathogènes offrent des renseignements précieux pour prévenir le risque de contamination. Par...
Le recours aux produits phytosanitaires peut s'alléger par une approche agronomique globale, la prophylaxie.
Le froid de ce début de campagne maïs a provoqué un retard dans les vols de pyrale, dont le pic a été atteint la semaine 26. Selon le piégeage, les captures sont moins élevées qu’en 2020. Si aucun insecticide n’a encore été appliqué, il faut le...
A l’instar du blé, une grille d’évaluation du risque ergot est désormais disponible pour le seigle.
La grêle qui a accompagné les récents orages a pu altérer les cultures de pommes de terre, notamment en Eure-et-Loir, dans le secteur de Bonneval. Les dégâts sont variables. Dans ce contexte, des traitements anti-mildiou sont à prévoir.
Les récoltes de céréales approchent : c’est le moment d’estimer le risque ergot dans chaque parcelle, à l’aide des grilles dédiées. Une évaluation indispensable, d’autant plus qu’un nouveau règlement va entrer en vigueur, conduisant à l’abaissement...
Une grille pour évaluer le risque d’accumulation d’ergot dans les lots de blé dur et de blé tendre est désormais disponible. Elle intègre différents facteurs de risque : la présence d’inoculum, les pratiques de désherbage des graminées et les...
Les aléas climatiques plus fréquents complexifient la gestion des interventions culturales et la prévention des tassements. Pour Pascale Métais, experte en fertilité physique des sols chez ARVALIS, évaluer les risques de tassement devient un enjeu...
A l’instar des céréales à paille, les jeunes maïs sont exposés à une forte présence de pucerons. Des traitements insecticides peuvent être positionnés selon le niveau de risque.
Les fusarioses des épis peuvent être très préjudiciables pour les céréales. Alors que les blés ont majoritairement atteint l’épiaison et les orges, la floraison (ou fin), c’est le moment d’estimer s’il y a risque de contamination et décider de la...
Le risque mildiou s’intensifie sur pommes de terre. Un traitement fongicide est à prévoir si nécessaire.
A la faveur de la fraîcheur et l’humidité de ces dernières semaines, l’oïdium est observé actuellement sur les feuilles de la partie inférieure des cultures, parfois de manière impressionnante. D’autant plus que l’alimentation azotée s’est relancée,...
Avec les prévisions d’orage, mieux vaut anticiper le risque de verse dans les linières. A évaluer à la parcelle, selon plusieurs paramètres.
Une stratégie de traitement insecticide est à mettre en place en maïs dès lors que le risque foreurs - pyrales et/ou sésamies - est avéré.
La septoriose du blé se propage à la faveur des pluies survenues depuis début mai. Au vu des stades, c’est le moment de prévoir le positionnement d’une intervention T2.
Après la longue période de sécheresse, le retour des pluies début mai est arrivé à point nommé afin de préserver les potentiels en place et valoriser les derniers apports d’azote. Le temps actuel, alternant pluies et éclaircies avec des températures...
Avec le retour des pluies, la pression maladies pourrait augmenter.
Face aux prévisions de pluies peu significatives, un dernier tour d’eau peut être envisagé dans certaines parcelles de blé, à certaines conditions.
A l'approche de la floraison des céréales, il est important d'évaluer le risque de contamination des épis par la fusariose pour intervenir si besoin. Cette maladie provoque une nécrose précoce d’un ou plusieurs épillets suivie le plus souvent d’un...
Malgré les températures plutôt basses pour la saison, les après-midis ensoleillés ont permis aux altises d’entrer en activité dans les parcelles de lin où elles étaient présentes. Le pic d'activité est à surveiller de près pour correctement...
Les gelées apparues la semaine dernière entraînent un risque de dégâts essentiellement pour les linières en cours de levée.
Les altises débutent leur activité lorsque les températures maximales sont supérieures à 13°C. Le point sur le risque en ce début avril.
La chute brutale des températures observée la semaine dernière - après une brève période quasi-estivale - intervient sur des céréales en montaison. Pour les parcelles au stade 2 nœuds, l’impact de ces gelées devrait être relativement limité, compte...
La chute brutale des températures observée la semaine dernière - après une brève période quasi-estivale - intervient sur des céréales à paille en pleine montaison. Pour les parcelles au stade 2 nœuds, l’impact de ces gelées devrait être relativement...
Avec l'augmentation des températures, liée au changement climatique, l'évapotranspiration des plantes augmente et le bilan hydrique des sols se dégrade. Sans prise de conscience de la société sur les enjeux liés à l'eau, l'agriculture risque d'être...
Les contaminations des cultures par l’ergot peuvent provenir des graminées présentes en bord de champs.
La réussite des cultures intermédiaires à vocation énergétique (Cive) passe par un itinéraire technique spécifique et une bonne analyse des risques. Entre Cive d'hiver et Cive d'été, retrouvez tout ce qu'il faut savoir dans une plaquette de...
Après un mois de mars favorable aux préparations des semis (destruction de couverts, épandage des fumiers, travail du sol), les terres sont prêtes pour les implantations de maïs. Les essais ARVALIS conduits dans l’ouest de la France confirment...
Les régulateurs de croissance doivent s'employer dans les meilleures conditions afin de bénéficier au maximum de leur potentiel. Les applications sont à réaliser sur des cultures saines et dans des conditions climatiques favorables. Différentes...
Le risque de verse est déterminé principalement par quatre critères : la sensibilité de la variété, la densité de tige, le niveau de nutrition azotée en début de cycle et les conditions météorologiques à la montaison (entre le stade épi 1 cm et le...
Souvent très denses à la montaison, les orges d’hiver et escourgeons sont plus exposés à la verse que le blé tendre. Il est donc essentiel de faire un diagnostic de ce risque. Focus sur les éléments à prendre en compte pour adapter sa stratégie...
Le datura est une adventice de plus en plus présente au champ. Elle contient deux alcaloïdes hautement toxiques qui peuvent se retrouver dans l’alimentation humaine et animale. Selon le dernier avis de l’Efsa, le risque est réel pour les...
La date de destruction des cultures intermédiaires résulte d’un compromis : le couvert doit avoir eu le temps de jouer son rôle de piège à nitrates et de protection du sol vis-à-vis de l’érosion, sans dégrader le potentiel de la culture qui suit....
Le choix de la date de semis est primordial pour l'orge de printemps. Une date de semis trop précoce expose la culture à des épisodes de froid intense. A l'inverse, une date de semis trop tardive réduit la capacité de tallage et augmente les risques...
Entre les importants épisodes de pluie en octobre, décembre et janvier-février, les pluies cumulées sont actuellement au-dessus de la médiane, entraînant dans de nombreuses situations une lixiviation des éléments minéraux mobiles, comme l’azote et...
Les cultures sont correctement implantées, avec des développements jusque-là ralentis par le froid et l’excès d’eau. Actuellement, elles sont bien alimentées en azote.
Après les conditions douces de l’automne, des épisodes de gel successifs depuis janvier ont ralenti le développement des lins d’hiver. Retour sur ce début de campagne.
Le coup de froid de cette semaine intervient sur des céréales peu ou mal endurcies (voire désendurcies), avec des sols humides. Les quelques centimètres de neige auront un très léger effet isolant pour limiter le refroidissement du sol. Des dégâts...
Pour Christian Huygue, Directeur scientifique adjoint de l'Inra, la révolution numérique profite aussi au monde agricole avec notamment l'utilisation de capteurs et de logiciels de traitement des données. Ces nouveaux outils permettent d'obtenir des...
Les gelées qui ont touché le territoire depuis Noël ne doivent pas générer de craintes particulières dans l’immédiat. Néanmoins, l’endurcissement des céréales est actuellement partiel, et le redoux de ces derniers jours n’écarte pas définitivement...
Les conditions actuelles sont plutôt favorables aux pucerons vecteurs de la jaunisse nanisante de l'orge (JNO). Il faut donc, dès à présent, observer leur présence pour évaluer le risque réel dans les parcelles en cours de levée, stade de début de...
Une baisse des températures moyenne a marqué le début du mois d’octobre. Depuis, les précipitations et le thermomètre font le yoyo. Quel impact peuvent avoir ces conditions climatiques changeantes sur l’activité des pucerons et des cicadelles,...
Pour que la présence de pucerons à l’automne se traduise par de fortes pertes de rendement en blé ou en orge, il faut un enchaînement de circonstances favorables à la Jaunisse Nanisante de l'Orge (JNO) durant la campagne. Pour abaisser le risque,...
Face à la combinaison des facteurs intervenant dans la nuisibilité de la jaunisse nanisante de l’orge (JNO), l’analyse du risque s’appuie essentiellement sur la surveillance des populations de pucerons dans les parcelles de céréales.
A défaut de solution efficace contre les virus de la JNO, la lutte cible les pucerons. Les produits disponibles en céréales à paille offrent une protection satisfaisante, mais ils doivent être correctement positionnés : pas trop tôt (car ils n’ont...
Choisir une variété tolérante (en orge d’hiver) et semer blés et orges à la bonne date permet d'abaisser le risque de dégâts liés à la jaunisse nanisante de l'orge (JNO).
Le nouveau numéro d’ARVALIS & Terres Inovia infos est disponible. La gestion des bioagresseurs y est à l’honneur pour bien démarrer la nouvelle campagne en céréales à paille, colza et pois d’hiver.
Développé par ARVALIS et AGROSOLUTIONS, PREC’EAU® évalue et identifie les risques de transferts de produits phytosanitaires dans les eaux souterraines et les eaux de drainage à différentes échelles (de la parcelle au territoire). La méthode associe...
Les linières sont en croissance active, phase déterminante pour le rendement en fibres. Surveillez l’évolution des maladies et notamment l’oïdium, particulièrement nuisible. Un programme fongicide est à prévoir en cas de risque avéré.
Les blés sont en pleine floraison cette semaine. A ce stade, les pluies survenant à plus ou moins 7 jours jouent sur le risque fusarioses des épis. Voici quelques clés pour estimer le risque à la parcelle.
Attention aux foins récoltés humides, ils sont particulièrement sensibles à l’échauffement durant la phase de conservation.
Depuis la mise en place des Bulletins de Santé du Végétal (BSV) en 2009, les technologies ont beaucoup évolué. Elles représentent aujourd’hui des opportunités mobilisables à chaque étape de leur élaboration ou une nouvelle façon de communiquer sur...
Des pucerons sont observés dans les parcelles de céréales à paille. Sur les orges de printemps encore en cours de tallage, il y a un risque de transmission de la jaunisse nanisante de l’orge (JNO).
Suite au retrait du traitement de semences Sonido, il reste plusieurs produits insecticides en microgranulés présentant une bonne efficacité pour lutter contre le taupin, principal ravageur du maïs en début de cycle. Plus difficiles à mettre en...
Cette technique, qui consiste à déplacer et regrouper plusieurs andains de fauche juste avant la récolte, présente de nombreux avantages, mais également quelques risques sur la qualité du fourrage.
Outre les pertes de rendement, la verse accentue les risques de germination sur pied. Voici les clés pour évaluer le risque sur triticale.
Très rustique lors de son démarrage au début des années 1980, le triticale a été soumis à des pressions biotiques de plus en plus importantes. Elles ont entraîné des contournements génétiques et mis en évidence des sensibilités variétales à...
Cette carence est de plus en plus fréquente, en particulier dans les terres légères (soufflées, aérées) ou dans les sols acides dont le pH a été trop augmenté. Retrouvez en vidéo les symptômes caractéristiques pour la repérer. Un apport foliaire dès...
Pour les parcelles de céréales qui n’ont pas encore été désherbées, des applications de produits d’automne en janvier voire février sont techniquement justifiées. Mais certains herbicides sont réglementairement interdits au-delà d’une date définie...
Renoncules, galéga officinal ou digitale : la flore des prairies est riche, mais elle recèle parfois des plantes toxiques pour le bétail, même si les cas d’intoxication restent rares. Certaines plantes sont bien connues, d’autres moins. Revue de...
Les couverts végétaux présentent de bonnes valeurs nutritives pour les animaux (96 g PDI/UFL en moyenne). Leur utilisation au pâturage ou en affouragement en vert nécessite toutefois une étude préalable de leur valeur énergétique et azotée ainsi...
Connaître la flore des parcelles est une étape primordiale au raisonnement agronomique du désherbage. Chaque adventice a ses caractéristiques biologiques propres, qu’il est bon de connaître pour activer des leviers agronomiques adaptés. Périodes de...
Gérer sur l’exploitation des groupes de parcelles de blé tendre ayant chacun des développements différents, plus ou moins avancés, est déjà une réalité dans certaines situations. Systématiser ce type de gestion culturale peut apporter des avantages...
Le choix des variétés de blé tendre est l’une des étapes importante de l’itinéraire technique. Productivité, qualité et résistance aux maladies en sont les facteurs clés. Cette dernière prend de plus en plus d’importance du fait des évolutions...
Un itinéraire cultural soigné et le respect des dates optimales de semis sont indispensables pour réussir l’implantation d’une prairie et assurer sa productivité et sa pérennité. Dans beaucoup de régions, les conditions d'humidité du sol n'ont pas...
L'édition 2019 d’ARVALIS & Terres Inovia infos consacrée aux interventions d’automne sur blé, colza et pois est disponible en téléchargement.
L’irrigation des pommes de terre favorise la croissance foliaire, ce qui augmente le risque vis-à-vis du mildiou : les points d’entrée de la maladie sont alors plus nombreux sur la plante, notamment durant la période de croissance active. Quelques...
Les fortes températures actuelles vont-elles impacter le rendement et la qualité des céréales à paille ?
Comparé à 2017, l’épisode de gel du week-end dernier est en tendance moins fort, mais il intervient légèrement plus tard dans le calendrier et dans le cycle des céréales d'hiver. Rappels des situations à risque.
Jean-Yves Maufras, expert en maladies des céréales à paille chez ARVALIS, nous donne quelques repères pour évaluer le risque septoriose sur blé et adapter la stratégie de lutte en conséquence.
Les années où les céréales d’hiver sont récoltées tôt, certains agriculteurs y voient la possibilité d’implanter un maïs en suivant afin d’augmenter leur revenu. Ce genre de système est en général envisagé lorsque l’irrigation est disponible, afin...
Les semis de lin fibre de printemps ont démarré dans les terres les plus chaudes. Les altises peuvent attaquer les cultures dès le fendillement jusqu’au stade 5 cm, avec des dégâts allant jusqu'au retournement des parcelles. Il est donc nécessaire...
Alors que la multiplication des aléas incite, autant que possible, à diversifier les cultures pour limiter les risques, le sorgho peut être un bon candidat à l’allongement des rotations. Explications avec Jean-Luc Verdier, ingénieur régional chez...
Choisir une précocité adaptée à son contexte et valoriser le progrès génétique sont les deux clés pour assurer performances du troupeau et rentabilité de la culture.
Le maïs n’est pas la culture qui se prête le mieux au semis sur un couvert pérenne et maintenu vivant. Les risques de compétition sur le maïs sont très élevés. Quatre années d’essais révèlent les points-clés des itinéraires les plus appropriés.
Les stratégies de semis habituelles conduisent à faire converger les stades d’épiaison et de floraison d’une même culture en lien avec la précocité variétale et un climat moyen. Face aux aléas climatiques, désynchroniser le développement des...
Ce premier flash info de la campagne 2018-2019 fait le point sur le début des arrachages et les premières estimations de rendement, avec des préconisations pour gérer le risque mildiou et la repousse physiologique.
Après un été très chaud et sec, une diversité de situation à risques se présente au moment de la récolte des pommes de terre, selon la disponibilité en irrigation, le type de production et la précocité de la variété implantée.
Lors des chantiers de récolte, le sol est habituellement suffisamment ressuyé pour que le passage des machines n’entraîne pas trop de tassement. Pascale Métais, spécialiste de la structure du sol chez ARVALIS, attire l’attention sur le fait que les...
L’irrigation est souvent jugée à tort comme un facteur aggravant les risques d’entraînement de nitrates vers la nappe phréatique. C’est au contraire un important facteur de valorisation des apports d’azote et de régularité du rendement.
Chaque plante levée est importante dans la conduite du maïs. Le contrôle des ravageurs au stade précoce est donc une priorité pour préserver le nombre optimal de plantes à l’hectare, ainsi que la vigueur et la surface photosynthétique de chaque...
Les larves de noctuelles défoliatrices peuvent occasionner des dégâts sur les jeunes plants de maïs en cas de forte attaque. Comment les reconnaître et les contrôler ?
Les séquences orageuses qui se succèdent depuis plus d’un mois interviennent le plus souvent entre la floraison et la maturité des céréales d’hiver. Quelles sont les conséquences à envisager sur le rendement et la qualité de la récolte ?
La manipulation de produits phytosanitaires n'est pas une opération anodine. Afin de préserver votre santé, il est primordial de connaître les caractéristiques des produits utilisés et les moyens pour réduire les risques d’exposition. Les...
Les conditions climatiques favorables cette année à la verse impliquent d’évaluer le risque sur les orges d’hiver, plus sensibles à cet accident que le blé tendre. Dans le cas où l’application de régulateurs s’impose, comment adapter sa conduite ?
Le séneçon est fréquent dans toutes les rotations et tous les types de sol. Cette adventice lève toute l’année. Son cycle très court rend difficile la lutte alternative et augmente les risques de voir ces populations s'accroître. La lutte chimique...
Les scutigérelles sont des mille-pattes qui s’attaquent aux racines des cultures à faible densité comme le maïs. Comment les identifier et les contrôler ?
Un apport foliaire ne peut être envisagé que si la culture est suffisamment développée, le plus souvent à partir du stade « épis 1 cm », en veillant à conserver une dilution minimale dans la bouillie pour éviter le risque de brûlure des plantes,...
Les phénomènes climatiques exceptionnels affectant les cultures sont plus fréquents et plus variés ces dernières années. Stéphane Jézéquel, ingénieur régional ARVALIS, analyse les possibilités d’adaptations dans la conduite des cultures.
Implanter une nouvelle culture dans son assolement constitue aujourd’hui une option résolument stratégique. Elle peut revêtir un caractère défensif – pour juguler une pression parasitaire forte – ou offensif – pour créer de la valeur...
La sensibilité d’un sol à la battance, à l’origine de ruissellement voire d’érosion, peut être évaluée par des tests de stabilité structurale, assez simples à réaliser.
Notre région connaît de plus en plus des conditions climatiques aléatoires. Dans ce contexte, mieux vaux échelonner les dates de semis en choisissant des variétés aux précocités différentes afin de répartir les risques liés à la météo.
Le temps humide actuel est favorable à la prolifération des limaces. Une observation de leur activité dans les futures parcelles de céréales avant les semis permettra de décider de l’opportunité d’intervenir.
Les variations climatiques observables d’une année sur l’autre ne doivent pas être à l’origine d’une remise en cause des modalités d’implantation des céréales d'hiver. Le raisonnement d’une date et d’une densité de semis doit reposer sur des...
L’irrigation favorise la croissance foliaire des tubercules mais augmente également le risque de développement du mildiou. Ce risque peut être renforcé par le type d’irrigation mis en place.
Alors que de plus en plus de données sont informatisées et leur acquisition automatisée, se pose la question de leurs usages et des risques éventuels à les diffuser. Bruno Lauga, gestionnaire de bases de données chez ARVALIS – Institut du végétal,...
De nombreuses gelées sont intervenues depuis une dizaine de jours sur des céréales à paille qui se trouvaient à des stades très variés. Leurs conséquences dépendent de leur intensité et du stade des cultures lors de leur survenue. A cela se rajoute...
Les dates de semis du maïs ont régulièrement été avancées depuis les années 1970 avec un gain de l’ordre de trois semaines. Les températures froides en début de cycle de semis ultra précoces peuvent réduire la surface foliaire et augmenter les...
La mesure du pHeau du sol suffit pour faire un diagnostic d’acidité et prendre la décision de chauler. Tant qu’il ne descend pas au-dessous de 6, l’apport d’amendement minéral basique peut être différé d’un an sans risque sur le rendement. En-deçà,...
En cas de réimplantation d'une culture en cours de campagne, il convient d’être vigilant sur la nature des herbicides utilisés à l’automne afin d’éviter tout désagrément au printemps. Toutes les cultures n’ont pas la même flexibilité vis-à-vis des...
En 2016, ce sont près de 1 200 Bulletins de Santé du Végétal (BSV) grandes cultures / pommes de terre qui ont été diffusés en France. Mais savez-vous comment ils sont élaborés ? Réponses avec Agnès Tréguier, ingénieur régional chez ARVALIS –...
Le nouveau numéro d’ARVALIS & Terres Inovia infos consacré aux cultures d'hiver est disponible. Une première partie revient largement sur les enseignements à tirer de la récolte 2016 en termes de stratégie globale.
Faut-il investir dès l’automne en désherbage ou bien reporter les interventions dans un objectif d’économies ? Pour répondre à cette question, nous avons comparé l’impact sur le rendement des différentes stratégies possibles.
Une gestion adaptée des résidus de maïs présente de nombreux avantages, que la culture suivante soit un blé ou un maïs. Elle permet entre autres d'améliorer le taux de levée de la culture suivante, de limiter le développement de fusarioses et de...
Parmi les postes de charges à optimiser, la quantité de semences utilisées offre une certaine souplesse. Les enquêtes sur les pratiques des agriculteurs montrent une tendance à surévaluer la densité de semis.
Suite à la mauvaise récolte 2016, ARVALIS – Institut du végétal propose une série de fiches pour identifier les postes d’économies possibles sur la conduite des céréales et leurs enjeux sur le rendement. Parmi les premiers postes de charges...
Autre poste de charges susceptible d'être optimisé : la protection des semences. L’essentiel est de bien identifier les situations à risques avant de s’en passer. Les pertes peuvent parfois être considérables !
L’accumulation de matière sèche dans les tubercules couplée à un sol sec en profondeur incitent à une vigilance accrue vis-à-vis du noircissement interne. Rappels des symptômes et des précautions à prendre au cours de la récolte et de la mise en...
La présence de fusarioses sur les épis des céréales à paille soulève des questions sur la qualité des semences issues de la récolte 2016. Le risque de perte de peuplement au semis est-il élevé ? Nathalie Robin, Ingénieur chez ARVALIS - Institut du...
Les conditions climatiques particulièrement chaudes et sèches de ces dernières semaines font que les ensilages se réalisent parfois lorsque les plantes présentent des taux de matière sèche particulièrement élevés, supérieurs à 36 voire 40 %. Bien...
Pour contrôler les fortes populations de limaces dans les parcelles de céréales, la stratégie de lutte doit être basée sur la mise en œuvre de pratiques culturales adéquates, en complément de l’usage raisonné d’anti-limaces.
Pour faire face au déficit fourrager, l’ensilage de céréales immatures peut constituer une solution de secours. Comment les valoriser dans les rations des ruminants ? Existe-t-il un risque sanitaire à utiliser des céréales touchées par la...
En maïs fourrage, le 1er avril au Sud et le 10 avril au Nord sont des dates-repères pour débuter les semis. Chaque année, nos essais le confirment : les semis précoces augmentent le rendement et la qualité de la récolte par rapport aux semis...
Localiser l’engrais au semis peut engendrer des phénomènes de toxicité, ou « brûlures », selon le type d’engrais utilisé et le mode de positionnement. Repères pour éviter les mauvaises surprises.
Le poids du climat dans l’apparition de fusarioses sur épis de maïs est déterminant. Néanmoins, il est possible de limiter les contaminations en évitant de cumuler les facteurs de risque, notamment par un choix variétal adapté. Retrouvez la synthèse...
Ce flash info vous propose un point sur les conditions climatiques de ces dernières semaines et celles à venir, ainsi que des préconisations techniques pour conduire la ventilation des tas de pommes de terre de fécule et prévenir les risques de...
Endémique dans plusieurs régions, l’helminthosporiose est une maladie dont le développement peut être limité grâce à un choix variétal judicieux. Pour vous y aider, ARVALIS-Institut du végétal a mis à jour la synthèse pluriannuelle des notes de...
Pour notre rendez-vous du désherbage, retrouvez les stratégies possibles à mettre en place dès l’automne pour lever la concurrence entre la culture et les adventices assez tôt dans la campagne et diminuer le risque d’apparition de résistances.
Les effets des amendements minéraux basiques sont multiples. Ils peuvent être bénéfiques dans certains sols mais négatifs dans de nombreuses situations. En l’absence de légumes dans la rotation, un pHeau proche de 6 à 6,5 est un bon compromis.
Dès lors que les conditions sont favorables à l’activité des limaces (temps humide notamment), le recours au piégeage dans les parcelles à risque est indispensable en période de semis des céréales. Rappels de la méthode à suivre pour installer les...
La présence d’insectes vivants dans les stocks représente un frein à la commercialisation des grains. Pour y remédier, ARVALIS – Institut du végétal préconise de suivre un itinéraire raisonné du stockage basé sur la prévention du risque. Cela passe...
La combinaison des moyens agronomiques et de la lutte chimique sur plusieurs campagnes constitue la meilleure option pour limiter les risques et réduir sensiblement les populations de limaces.
La connaissance des notes de résistances aux maladies et leur actualisation, justifiée par des effets de contournement et d’érosion, permet d’ajuster la protection de la culture à partir de la prévision des risques en cours de campagne.
La repousse physiologique est liée à la capacité de la culture à résister à des conditions extérieures (températures élevées, sécheresse) en bloquant le phénomène de tubérisation. La période de canicule actuelle constitue donc un danger immédiat...
Dès l’implantation, la mise en œuvre des leviers agronomiques (choix variétal, gestion des résidus du précédent…) réduit fortement le risque d’attaque par la fusariose des épis causée par Fusarium graminearum et Fusarium culmorum ; responsables de...
Le mildiou est la maladie la plus nuisible et la plus courante pour la pomme de terre. Une attaque précoce peut entraîner des baisses de rendement de l’ordre de 50 %. Cette maladie ne peut être traitée qu’en préventif principalement. Il s’agit de...
Le bouchage d’une ou plusieurs buses est l’incident le plus fréquent lors d’un chantier de pulvérisation. Une filtration adaptée et le respect de quelques règles, telles que l’ordre d’incorporation des produits, permettent de prévenir ce risque....
ARVALIS – Institut du végétal a travaillé sur de nombreux essais afin de repérer d’éventuelles interactions entre réduction de volume et réduction de dose en matière d’herbicides. Mais gagner sur ces deux tableaux n’a pu s’observer que pour le...
Il est nécessaire de protéger les semis de maïs vis-à-vis des ravageurs, afin de limiter le risque d’attaques et ainsi préserver la densité de plantes, première composante du rendement.
Les tubercules riches en matière sèche sont plus sensibles au développement du noircissement interne. Différentes mesures préventives peuvent être mises en œuvre pour limiter les risques d’apparition : maintenir les réserves potassiques du sol à un...
Basé sur des informations agronomiques et climatologiques, le Baromètre Maladies calcule instantanément un niveau de risque sur 7 jours pour 5 maladies : le piétin verse, la septoriose, la rouille jaune, la rouille brune et la fusariose des épis.
Prévisions de stades et risques maladies «à la carte».
La pression rouille jaune aura marqué la campagne 2014 par son importance. Vu les niveaux de contamination, les blés en terre pourraient subir de nouvelles attaques dès le printemps prochain. Selon la météo hivernale, une stratégie de protection...
Première étape pour bâtir son programme fongicide a priori, une évaluation agronomique spécifique à la parcelle est indispensable. Ce programme devra être ajusté en fonction des conditions climatiques de l’année. Attention, il faut veiller à...
Les sols considérés comme à infiltration rapide hivernale sont les sols dont le niveau de Réserve Utile hivernal est inférieur à 120 mm avec un substrat géologique perméable. Plusieurs types de sols sont concernés, du limon sableux à...
En céréales à paille, trois stratégies se dégagent pour lutter contre les limaces selon les observations réalisées par piégeage. Les recommandations portent alors sur une combinaison de moyens agronomiques avec la lutte chimique.
Il est nécessaire de protéger la culture jusqu’au défanage complet afin de limiter la propagation du mildiou.
Téléchargeable gratuitement sur le site d’ARVALIS-Institut du végétal, une plaquette rassemble les techniques efficaces de réduction des risques de bioagresseurs. Et la recherche continue à avancer.
Dès que 10 % des plantes sont habitées par un puceron à l’automne, il est recommandé de traiter ! Ce seuil de traitements est souvent cité en référence pour faciliter la décision d’une intervention. Mais quelle valeur donner à un seuil ? Peut-on...
Spécialiste fongicides chez ARVALIS - Institut du végétal, Claude Maumené rappelle que diminuer la dose de fongicide ne conduit pas à augmenter la pression de sélection de souches résistantes à ces produits. La littérature scientifique tend même à...
Jean-Yves Maufras, spécialiste maladies chez ARVALIS – Institut du végétal, rappelle qu’il est préconisé de ne traiter les maladies qu’une seule fois par campagne avec des spécialités à base de SDHI, afin de limiter les risques de résistance.
En sortie d’hiver, c’est le moment d’envisager l’emploi d’un régulateur contre la verse, si le risque est important. Il permet de limiter les pertes de rendements, lorsque les conditions d’expression de la verse sont présentes.
L’utilisation des produits phytosanitaires peut comporter des risques pour l’utilisateur et l’environnement. Afin de réduire les risques pour la santé de l’applicateur, la première étape d’un traitement doit consister à prendre connaissance des...
Diagnostiquer un risque de carence en soufre c’est possible. La quantité de sulfate disponible pour la culture en place dépend du type de sol, du passé de fertilisation organique, de la pluviosité hivernale, et de l’apport de soufre sur le...
Réduire les risques de transferts de produits phyto par ruissellement, tel était l’objectif des partenaires mobilisés dans le projet européen TOPPS Prowadis. Les principaux enseignements en termes de diagnostic et de solutions d’amélioration sont...
Les limons battants sont souvent sujets au ruissellement, qui favorise le transfert de produits phytosanitaires. Tour d'horizon des solutions permettant de limiter les risques.
Les semis tardifs de céréales à paille sont possibles mais ils s’exposent à des risques climatiques et des pertes de potentiel de rendement. Gros plan sur les risques encourus et les précautions à prendre pour les limiter.
Après une période de températures relativement douces, les conditions climatiques deviennent véritablement « hivernales » depuis une semaine. Ce rafraîchissement est l’occasion de ventiler efficacement les tas pour ramener leur température vers...
Plus le volume de résidus laissés en surface après la récolte de maïs grain est élevé, plus le risque sanitaire pour les cultures suivantes (céréales ou maïs) est important. Un broyage fin suivi d’une incorporation superficielle s’impose pour...
Le taux de moucheture de la récolte française de blé dur ne correspond pas toujours aux demandes des acheteurs. Limiter ce taux constitue donc un enjeu commercial fort. ARVALIS, avec le soutien de France Export Céréales, a entrepris un travail en...
Dans les rotations colza-blé-orge d'hiver conduites en techniques culturales simpifiées, le risque de développement d’une population de graminées résistantes est préoccupant. ARVALIS – Institut du végétal et le CETIOM viennent d’éditer une plaquette...
Lorsque l’apport de soufre ne se justifie pas pour le rendement ou le risque de carence soufrée, il ne se justifie pas non plus pour la qualité technologique.
La lutte en végétation contre les bromes devient problématique. En effet, elle s’appuie majoritairement sur des herbicides inhibiteurs de l’ALS, ce qui pourrait conduire à l’apparition de résistance. La mise en place de programmes de traitement...
Afin de mieux cibler les situations où un apport de soufre se justifie et d’éviter les apports systématiques dans les situations où le risque de déficience en soufre est faible ou modéré, une grille de décision est disponible basée sur...
Pour limiter les dégâts liés aux attaques de limaces, il faut perturber leur milieu de vie et entraver leur déplacement par la répétition de passages d’outils de travail du sol au cours de certaines périodes clés. La gestion et la couverture des...
Fractures, noircissement interne… Bon nombre de blessures sur les tubercules peuvent être évitées en respectant certains principes de précaution lors de la récolte ou lors du nettoyage. Tour d’horizon des différents leviers d’action.
Une fin d’été humide ? Une implantation de culture intermédiaire ? Et voilà le risque limace qui revient. Heureusement, la lutte démarre de façon préventive à l’interculture en actionnant les leviers agronomiques.
Les fusarioses des épis du maïs sont des maladies endémiques et sporadiques qui se développent localement certaines années. Les agents pathogènes responsables de ces maladies, les Fusarium, peuvent produire des fusariotoxines qui altèrent la qualité...
Le piétin-verse peut provoquer des pertes de rendement de 3-4 q/ha à 20 q/ha en cas de parcelles versées. Le développement de cette maladie est fortement lié aux conditions agronomiques et climatiques. Pour le blé tendre, la lutte contre le piétin...
La maîtrise de la qualité sanitaire du blé est essentielle pour accéder au marché. Le principal risque sanitaire provient des fusarioses sur épi, et plus particulièrement de Fusarium graminearum, responsable des contaminations en déoxynivalénol...
Les programmes fongicides construits a priori doivent être ajustés en fonction du contexte parasitaire de l'année, et plus particulièrement du climat. Pour vous aider à bien positionner vos traitements, des outils existent afin d'adapter votre...
L’helminthosporiose causée par Drechslera teres est la principale maladie observée sur orge. La reconnaître n’est pas toujours aisé tant les symptômes peuvent être variés. Pour limiter les risques de contamination, il faut respecter un délai minimum...
Terres Inovia, ARVALIS - Institut du végétal, l'ITB et l'ACTA proposent l'outil en ligne R-sim qui permet d'évaluer le risque d'apparition d'adventices résistantes selon les pratiques herbicides envisagées sur la parcelle. Cet outil est utilisable...
De l’évaluation des risques maladies au diagnostic au champ, ARVALIS – Institut du végétal met à votre disposition plusieurs outils gratuits pour vous aider à gérer les maladies tout au long de la campagne.
Contrairement aux idées reçues, les applications précoces de régulateurs ne permettent pas d’augmenter le nombre de talles à épis. Pire, dans les situations où les plantes sont stressées, elles pourraient engendrer des problèmes de phytotoxicité. La...
Les traitements de désherbage pouvant être particulièrement tardifs cette année à cause de conditions climatiques peu favorables, la tentation est grande de mélanger les herbicides avec des produits ayant d’autres usages. Mais attention, les risques...
Le déficit hydrique influence la qualité des grains essentiellement à travers l'absorption et l'assimilation de l'azote. Il joue donc sur la teneur en protéines. Il modifie la densité du couvert et influence le risque de verse qui agit aussi sur...
Les sols hydromorphes, qu’ils soient drainés ou non, présentent des risques de transfert par réseau de drainage ou par ruissellement par saturation au cours de l’hiver quand leur réserve utile est pleine.
La directive cadre sur l'eau vise à garantir une bonne qualité des eaux – superficielle et souterraine – d’ici 2015. Pour répondre à cet objectif, il est nécessaire d’identifier les modes de circulation de l’eau et les risques de transfert.
Les écoulements de subsurface et hypodermiques sont propres aux sols présentant une rupture de perméabilité dans le profil. Ils peuvent être associés à de l’infiltration en profondeur et/ou du ruissellement, ce qui augmente les risques de transferts...
Le choix variétal, les techniques culturales et le climat sont les trois éléments qui conditionnent le risque de verse physiologique au cours d’une campagne. Celui-ci se raisonne donc dès le début de cycle.
En 2012, les semis tardifs ont été exposés aux stress hydriques dans de nombreuses situations. Le choix de variétés plus précoces permet de gérer ce type de risque.
Evaluer le risque de verse physiologique est essentiel pour décider de la stratégie de lutte à mettre en place. Ce risque dépend du choix de la variété, des techniques culturales, et de facteurs climatiques tels qu'un défaut de rayonnement et/ou des...
La généralisation de certaines familles chimiques comme les inhibiteurs de l’ALS à plusieurs cultures augmente le risque d’apparition de résistances chez certaines espèces d’adventices. Il convient donc de diversifier au maximum les modes d’action...
Retrouvez tout ce qu’il faut savoir pour contrer les taupins en pommes de terre dans le document « Les taupins de la pomme de terre ». Disponible en téléchargement gratuit, il vous présente description, biologie, risques et prévention concernant cet...
Face au mildiou de la pomme de terre ou aux attaques de limaces, des stratégies de prévention des risques peuvent être mises en œuvre pour limiter le recours aux traitements phytosanitaires. Dans une plaquette synthétique à télécharger gratuitement,...
Un temps frais, humide favorise les attaques de rhizoctone brun car il retarde la levée des plantes et allonge par conséquent la période d'exposition de la plante aux attaques sur les germes. Le non-respect d'un délai de retour de 5 ans minimum...
Le début du printemps particulièrement chaud et sec perturbe l’assimilation de l’azote par les cultures. Sur orge de printemps, le risque consiste à ce que l’azote soit valorisé trop tardivement, conduisant à un excès de teneur en protéines.
Les risques de phytotoxicité sont forts sur les parcelles fortement touchées par le gel, ce qui implique des précautions supplémentaires sur le positionnement du traitement. Mais attention à ne pas négliger d’autres sources de phytotoxicité.
La fertilisation azotée du lin fibre d'hiver s'effuectue uniquement printemps. Quant aux apports de zinc, il ne sont pas une priorité pour la culture sauf en situation à risque.
Le zinc est un élément essentiel pour le lin. Les besoins de la culture sont évalués entre 50 et 300 g/ha selon les conditions climatiques. Il est indispensable d'en apporter.
En 2007-2008, les tous premiers foyers de rouille jaune, étaient observés fin janvier et avaient été largement signalés au cours de la première quinzaine de février. Ce début de campagne, comme 2007-2008, est marqué par des températures...
ARVALIS-Institut du végétal vient de publier avec la collaboration du CETIOM et de l’ITB une note technique sur les risques de transfert dans l’eau des produits phytosanitaires et du nitrate, alimentée par les résultats d’expérimentations...
Surveillance des tas, recherche du séchage pour les tas à problèmes et protection contre le gel sont les maîtres mots des jours à venir.
Les producteurs de grandes cultures sont de plus en plus vulnérables d'un point de vue économique. Ils font face à un contexte de production en évolution : les marchés fluctuent fortement et les aides diminuent. La gestion des risques doit elle...
Aussi présents sur les oléagineux, les herbicides antidicotylédones de la famille des inhibiteurs d’ALS sont désormais autorisés sur toutes les cultures. Leur succès risque d’accélérer l’apparition de dicotylédones résistantes. Ils doivent donc être...
Les retraits successifs de substances actives ont marqué la fin des solutions de traitement de semences « tout en un » associant plusieurs substances actives. Pour la campagne 2011-2012, sur blé comme sur orge, il s'agit de bien identifier les...
Les infestations de graminées adventices sont de plus en plus fréquentes dans les rotations de cultures d’automne. Deux solutions permettent de réduire le risque d’apparition de ces mauvaises herbes : l’introduction de cultures de printemps dans la...
Les fortes précipitations d’août et les températures élevées à la récolte peuvent entraîner des risques quant à la conservation des tas de tubercules. Nos conseils techniques et nos préconisations.
Le profil atypique de l’année 2011 ne doit pas servir de base pour établir de nouvelles préconisations de dates de semis. Seules des analyses fréquentielles permettent de décrire correctement le climat d’une région et d’estimer l’intensité et...
Les couverts végétaux sont mis en place pour éviter l’érosion ou pour réduire la lixiviation des nitrates. Leur valorisation par le pâturage offre une solution intéressante aussi bien techniquement qu’économiquement, notamment lorsque les stocks...
Dans certaines régions, les conditions climatiques pluvieuses de cette année font craindre des récoltes de céréales difficiles, les plages de beau temps étant d’assez courte durée. De ce fait, la teneur en eau de certains lots risque d’être trop...
L’acidification des sols peut avoir des conséquences sur la disponibilité de certains minéraux dans le sol, avec des risques de déficiences ou de carences.
L’impact des maladies et des ravageurs sur le rendement et la qualité de la pomme de terre exige une protection efficace de la culture. Les techniques mises en oeuvre doivent permettre de réduire le transfert de matières actives phytosanitaires vers...
Pour préserver les pommes de terre des risques d’endommagements lors des opérations de manutention, triage et conditionnement.
Maîtrise des risques de pollutions au champ par les produits phytosanitaires au niveau d’un bassin versant
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Pour éviter la toxicité de l'aluminium, il faut maintenir le pH eau du sol au-dessus du seuil où cette toxicité apparaît. Le maintien du pH eau au dessus de 5.5 permet ainsi de limiter ce risque dans la plupart des sols, mais compte tenu de la...
Le fait que la toxicité de l’aluminium soit principalement contrôlée par le pH confère à la mesure du pH eau le statut d’indicateur privilégié pour diagnostiquer les risques liés à l’acidité des sols.
La moitié des échecs de désherbage sont liés à des problèmes techniques : mauvais dosage, oubli d’adjuvants, produits non adaptés à la flore… Pourtant, une bonne stratégie de traitement peut amener à utiliser des doses plus faibles que la dose...
La manipulation des produits phytosanitaires peut engendrer des risques pour la santé. Quelques précautions, en particulier une bonne organisation de chantier et le port d’équipements de protection, permettent de protéger correctement...
La maîtrise des maladies commence par la prévention du risque de contamination des parcelles. Une approche agronomique permet, dans certains cas, de limiter l’apparition et le développement des maladies. Tour d’horizon des vertus de l’agronomie sur...
L’helminthosporiose du maïs peut provoquer d’importantes attaques et un dessèchement rapide du feuillage, nettement préjudiciable au rendement. La sensibilité des variétés et une série de leviers agronomiques, sans oublier la protection fongicide,...
La prairie, comme toute culture, est exposée au risque de dégâts causés par différents ravageurs. Les moyens de lutte sont cependant limités, car aucun produit phytosanitaire vis-à-vis de ces ravageurs n’est homologué sur prairies.