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Les conditions de levée et de croissance ont été bonnes pour les céréales durant l’automne, qui sont actuellement en plein tallage. Un apport d'azote à ce stade peut se justifier dans certaines situations. A raisonner selon le niveau des reliquats...
Dans la plupart des situations, les besoins en azote des céréales sont encore modérés et couverts par la minéralisation du sol. Mais les stocks sont faibles sur les sols superficiels et s’amenuisent dans les sols les plus profonds. La demande des...
Les cultures sont correctement implantées, avec des développements jusque-là ralentis par le froid et l’excès d’eau. Actuellement, elles sont bien alimentées en azote.
Dans les situations où il s’avère nécessaire, le premier apport d’azote peut être effectué sur les blés dès que les parcelles seront praticables. Retour sur le raisonnement de cet apport.
Etant donné les fortes pluies qui ont touché certaines régions depuis le début de l’année, il est nécessaire d’évaluer l’impact du drainage sur le reliquat azoté de sortie d’hiver mesuré fin janvier/début février.
Evaluer les reliquats d'azote dans le sol permet de piloter la fertilisation au plus près des besoins de la culture. Comment prélever la terre afin de réaliser une mesure fiable ? Explications en vidéo.
Le pilotage de l’azote sur blé tendre commence dès le premier apport : comment le raisonner ? Le point sur la situation dans notre région.
Un apport précoce d’azote a pour objectif d’alimenter le blé jusqu’au stade « épi 1 cm ». Cette année, un tel apport se justifie pour les semis tardifs réalisés en sols superficiels ou parcelles drainées.
Le point sur la situation azotée des parcelles de céréales, avec les préconisations d’apports au tallage.
D’après les dernières mesures effectuées en janvier, les reliquats azotés sont globalement élevés cette année, mais très variables selon le précédent.
Les implantations de céréales à l'automne 2020 se sont déroulées dans de bien meilleures conditions que la campagne précédente. Les cultures présentent actuellement un état végétatif favorable dans la majorité des situations.
L’azote présent dans le sol est largement suffisant pour couvrir les faibles besoins des cultures dans les prochaines semaines. Aucun apport d’azote n’est à envisager avant mi-février.
Comme pour l’azote, un apport de soufre n'est pas encore d'actualité. Mais, il est déjà possible d'identifier les zones à risque de carence.
Les conditions climatiques de cet automne ont été relativement favorables à la présence continue de pucerons dans les parcelles de céréales, notamment en lien avec la douceur en novembre et le redoux mi-décembre.
Les conditions climatiques de l’automne/hiver peuvent donner quelques indications sur les reliquats de sortie d’hiver attendus cette année.
Le reliquat de sortie d’hiver (RSH) est déterminant dans le calcul des besoins en azote des cultures. Le point sur les bonnes pratiques à mettre en œuvre pour le mesurer.
Mesurer les reliquats azotés en sortie d'hiver est primordial afin d'ajuster au mieux le plan de fumure des cultures. Pour obtenir des résultats de qualité, un minimum de 14 prélèvements doit être réalisé dans un cercle de 20 m de diamètre.
Pour le calcul du bilan azoté 2021, la valeur A définitive, qui correspond au coefficient de minéralisation de l’année précédente, est de 160 kg N/ha.
Sur céréales, le premier apport d’azote au tallage permet d’accompagner la plante jusqu’au stade épi 1 cm. Cette année, plusieurs situations se présentent dans la région. Le point sur les stratégies d’apport possibles.
En début d’année, la question de l’azote au tallage sur blé dur est d’actualité.
Le premier apport d’azote peut être effectué quand la céréale atteint le stade « début tallage ». Dans notre région, les parcelles semées en octobre atteindront ce stade avant mi-décembre.
L'ajustement de la dose d'engrais azotés à la parcelle passe par un calcul rigoureux des besoins en azote du maïs et des fournitures totales en azote du sol (reliquat au semis, minéralisation de l'humus...). Pour viser une efficacité maximale, le...
En céréales, le risque de verse est modéré cette année, sauf pour les variétés sensibles. L’application des régulateurs ne doit être réalisée que lorsque ce risque est avéré et les conditions climatiques favorables, ce qui n’est pas le cas...
Les conditions climatiques ont été défavorables au risque de verse, qui s’avère faible en ce début montaison. Restez vigilant sur l’évolution de la météo.
Le risque de verse est conditionné par trois facteurs : la sensibilité variétale, les densités de semis excessives, et l’excès de fertilisation azotée. Les conditions climatiques hivernales n’ont pas été favorables au tallage, et le lessivage...
Les forts cumuls de pluie enregistrés depuis les semis de céréales d’hiver occasionnent une hétérogénéité de situations en termes de reliquat d’azote et de potentiel de rendement. Le point sur les stratégies d’apport d’azote à mettre en œuvre sur...
Dès que le blé tendre atteint le stade épi 1 cm, c’est le moment pour estimer le risque de verse. Si les conditions de ce début de campagne ont globalement limité le risque (dates de semis retardées, croissance perturbée par de l'anoxie...
L’apport d’azote à épi 1 cm permet de satisfaire les besoins élevés des blés qui débutent leur montaison. A ajuster en fonction de la situation de la parcelle.
Face aux grandes difficultés rencontrées lors des semis d’automne, l’orge de printemps peut être une alternative intéressante cette année. Retour sur les points clés de l’itinéraire technique de cette culture.
La douceur constante depuis la fin de l’automne se traduit par une croissance et un développement rapide des cultures, quelles que soient les dates de semis.
Quels sont les points-clés de l’itinéraire technique à adapter qui conditionnent la rentabilité des orges de printemps et la possibilité de les valoriser avec un contrat orge brassicole ? Le point sur l’implantation, la nutrition azotée et le...
Des reliquats azotés faibles à moyens sur des céréales malmenées par les excès d'eau puis le gel militent aujourd'hui pour un premier apport d'azote très modéré, avant de fractionner l'apport principal autour du stade épi 1 cm et de revenir...
Dans bon nombre de secteurs, les reliquats azotés sont encore aujourd’hui élevés, conduisant à des doses prévisionnelles d’azote faibles à très faibles. Dans ces situations, il convient de privilégier un apport unique au moment où les besoins du...
Dans les situations à forts reliquats azotés, l’impasse de l’apport au tallage des céréales était le premier réflexe à adopter cette année. Le deuxième va être de piloter les apports durant la montaison pour les ajuster aux réels besoin des...
Afin de suivre au plus près les besoins azotés du blé tout au long de son cycle, il est recommandé de fractionner l'azote en trois apports. Le premier est apporté au stade tallage, le second au stade épi 1 cm, et le dernier entre le stade 2 noeuds...
Diagnostiquer un risque de carence en soufre c’est possible. La quantité de sulfate disponible pour la culture en place dépend du type de sol, du passé de fertilisation organique, de la pluviosité hivernale, et de l’apport de soufre sur le...
C’est pendant l’année suivant leur épandage que les produits organiques libèrent le maximum d’azote labile qu’ils contiennent. Au-delà, la majeure partie de l’azote restant est intégrée dans le stock d’azote organique du sol. L’analyse récente de...
Les fortes pluies enregistrées l’automne dernier dans de nombreuses régions ont pu avoir comme conséquence un lessivage important de l’azote minéral du sol. Par conséquent, les niveaux de reliquats azotés sortie hiver devraient être assez faibles....
La fertilisation azotée du lin fibre d'hiver s'effuectue uniquement printemps. Quant aux apports de zinc, il ne sont pas une priorité pour la culture sauf en situation à risque.
La plante consomme la moitié de ses besoins entre la levée et le stade 15 cm. Bien enraciné, il mobilise l'azote minéral des couches les plus profondes ; c'est pourquoi la réponse à l'engrais azoté est variable.