En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des contenus adaptés à votre région et réaliser des statistiques.
23 résultats.
Les besoins en azote d’un blé sont faibles jusqu’à la fin du tallage : 50 unités suffisent à assurer son alimentation jusqu’au stade épi 1 cm. Ils peuvent être couverts par les fournitures du sol.
Il a beaucoup plu en Champagne-Ardenne depuis le début de l’année. Les reliquats azotés mesurés avant ces épisodes pluvieux doivent parfois être réévalués car une partie de l’azote minéral du sol a pu être lessivé. Dans quelles situations cet...
L’apport d’engrais azotés organiques issus du recyclage sur céréales conduites en agriculture biologique (AB) n’est pas toujours rentable. Trois critères aident à la décision : le reliquat sortie d’hiver (RSH), l’état du peuplement et le...
Les conditions de levée et de croissance ont été bonnes pour les céréales durant l’automne, qui sont actuellement en plein tallage. Un apport d'azote à ce stade peut se justifier dans certaines situations. A raisonner selon le niveau des reliquats...
Dans la plupart des situations, les besoins en azote des céréales sont encore modérés et couverts par la minéralisation du sol. Mais les stocks sont faibles sur les sols superficiels et s’amenuisent dans les sols les plus profonds. La demande des...
Les cultures sont correctement implantées, avec des développements jusque-là ralentis par le froid et l’excès d’eau. Actuellement, elles sont bien alimentées en azote.
Etant donné les fortes pluies qui ont touché certaines régions depuis le début de l’année, il est nécessaire d’évaluer l’impact du drainage sur le reliquat azoté de sortie d’hiver mesuré fin janvier/début février.
Evaluer les reliquats d'azote dans le sol permet de piloter la fertilisation au plus près des besoins de la culture. Comment prélever la terre afin de réaliser une mesure fiable ? Explications en vidéo.
Le pilotage de l’azote sur blé tendre commence dès le premier apport : comment le raisonner ? Le point sur la situation dans notre région.
Un apport précoce d’azote a pour objectif d’alimenter le blé jusqu’au stade « épi 1 cm ». Cette année, un tel apport se justifie pour les semis tardifs réalisés en sols superficiels ou parcelles drainées.
Le point sur la situation azotée des parcelles de céréales, avec les préconisations d’apports au tallage.
D’après les dernières mesures effectuées en janvier, les reliquats azotés sont globalement élevés cette année, mais très variables selon le précédent.
Les implantations de céréales à l'automne 2020 se sont déroulées dans de bien meilleures conditions que la campagne précédente. Les cultures présentent actuellement un état végétatif favorable dans la majorité des situations.
L’azote présent dans le sol est largement suffisant pour couvrir les faibles besoins des cultures dans les prochaines semaines. Aucun apport d’azote n’est à envisager avant mi-février.
Comme pour l’azote, un apport de soufre n'est pas encore d'actualité. Mais, il est déjà possible d'identifier les zones à risque de carence.
Les conditions climatiques de cet automne ont été relativement favorables à la présence continue de pucerons dans les parcelles de céréales, notamment en lien avec la douceur en novembre et le redoux mi-décembre.
Mesurer les reliquats azotés en sortie d'hiver est primordial afin d'ajuster au mieux le plan de fumure des cultures. Pour obtenir des résultats de qualité, un minimum de 14 prélèvements doit être réalisé dans un cercle de 20 m de diamètre.
Le premier apport d’azote peut être effectué quand la céréale atteint le stade « début tallage ». Dans notre région, les parcelles semées en octobre atteindront ce stade avant mi-décembre.
Des reliquats azotés faibles à moyens sur des céréales malmenées par les excès d'eau puis le gel militent aujourd'hui pour un premier apport d'azote très modéré, avant de fractionner l'apport principal autour du stade épi 1 cm et de revenir...
Dans bon nombre de secteurs, les reliquats azotés sont encore aujourd’hui élevés, conduisant à des doses prévisionnelles d’azote faibles à très faibles. Dans ces situations, il convient de privilégier un apport unique au moment où les besoins du...
Dans les situations à forts reliquats azotés, l’impasse de l’apport au tallage des céréales était le premier réflexe à adopter cette année. Le deuxième va être de piloter les apports durant la montaison pour les ajuster aux réels besoin des...
C’est pendant l’année suivant leur épandage que les produits organiques libèrent le maximum d’azote labile qu’ils contiennent. Au-delà, la majeure partie de l’azote restant est intégrée dans le stock d’azote organique du sol. L’analyse récente de...
Les fortes pluies enregistrées l’automne dernier dans de nombreuses régions ont pu avoir comme conséquence un lessivage important de l’azote minéral du sol. Par conséquent, les niveaux de reliquats azotés sortie hiver devraient être assez faibles....