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Sur céréales, le premier apport d’azote au tallage permet d’accompagner la plante jusqu’au stade épi 1 cm. Cette année, plusieurs situations se présentent dans la région. Le point sur les stratégies d’apport possibles.
Les limaces profitent des conditions météo favorables, provoquant de nombreux dégâts dans les céréales. Pour les pucerons, pluie et froid freinent enfin leur activité.
Les graminées automnales, ray-grass et vulpins notamment, sont déjà bien présentes dans les parcelles de céréales déjà semées.
La campagne 2019/2020 a été marquée par des conditions difficiles dès le début, impactant la conduite des semis. Voici quelques clés de raisonnement pour les implantations à venir.
Les parcelles de maïs grain ont une avance d’une quinzaine de jours et la météo est en faveur de la dessication des grains : les récoltes devraient démarrer sous peu.
Les maïs précoces ont déjà démarré la floraison depuis début juillet. Les prévisions météorologiques des prochains jours n’annonçant pas de pluie mais des températures élevées, il est important de bien suivre ses tours d’irrigation.
Dans les secteurs les plus précoces, le blé tendre entame sa floraison. C'est le moment d'évaluer le risque fusariose des épis, maladie qui peut causer d'importantes pertes de rendement et dégrader la qualité sanitaire de la récolte.
Les blés sont en pleine floraison cette semaine. A ce stade, les pluies survenant à plus ou moins 7 jours jouent sur le risque fusarioses des épis. Voici quelques clés pour estimer le risque à la parcelle.
Depuis fin avril, la pluviométrie importante favorise le développement des maladies, sur feuilles et sur épi. Face au risque fusarioses qui s’intensifie, il est nécessaire d’adapter ses interventions en fonction de la date de semis et de ce qui a...
Les pluies récentes et à venir favorisent le risque de fusarioses sur les blés, qui atteignent actuellement - ou bientôt - le stade floraison. Un traitement fongicide au plus proche de ce stade est à prévoir.
Avec les pluies actuelles, le risque fusarioses des épis augmente dans les blés. Il est nécessaire de rester aux aguets sur le début floraison des parcelles, notamment en cas de risque agronomique élevé.
Les semis tardifs de céréales, réalisés courant janvier, atteignent le stade dernière feuille pointante à étalée. Le plus souvent, le dernier apport d’azote n’a pas encore été réalisé. En avançant dans le mois de mai, le risque de sécheresse et de...
Les céréales à paille atteignent dans la majorité des cas le stade dernière feuille pointante. L’hétérogénéité des situations de l’année se ressent : une minorité de parcelles est encore autour du stade 2 nœuds, voire épi 1 cm, alors que l'épiaison...
Cette fin de montaison est marquée par le retour des pluies après près d’un mois de sec. On peut s'attendre à la progression de la septoriose vers les étages foliaires supérieurs. Comment adapter la protection fongicide sur des blés aux stades très...
Les conditions climatiques hivernales et printanières ont favorisé le développement des blés, qui ont pris beaucoup d’avance (entre 6 et 13 jours en blé tendre). Les premières floraisons sont observées, elles sonnent le moment d’évaluer le risque...
Les pluies récentes et à venir sont particulièrement en faveur des maladies des feuilles et des épis sur blé dur. Voici quelques stratégies fongicides proposées selon la situation de la parcelle.
Il est toujours possible de corriger une carence en azote jusqu’à la fin de la montaison des céréales. La plante a capacité à convertir cet azote à la fois en grains et en protéine, sous réserve de cumuler une pluviométrie suffisante suite à...
Les températures douces de cet hiver et de ce début de printemps ont accéléré le développement des cultures de blé, qui sont désormais très en avance. Dans un contexte de situations très hétérogènes, il est d’autant plus nécessaire d’évaluer le...
Les semis de maïs sont en cours, c’est aussi le moment de penser au désherbage… Dans le cas d’une impasse en prélevée, une intervention en postlevée constitue une alternative intéressante à certaines conditions.
Tout comme aux printemps 2011, 2014 et 2017, la sécheresse prolongée au moment de la montaison pose un certain nombre de questions quant à la gestion de la fertilisation azotée et l’interprétation des outils de pilotage. Pour que le dernier apport...
Avec l’absence de pluie depuis plus d’un mois, l’absorption des apports d’azote réalisés à épi 1 cm peut être affectée. Il est nécessaire d’adapter la gestion des prochains et derniers apports d’azote.
Depuis mi-mars, le climat a plutôt freiné le développement des maladies foliaires sur blé, induisant un risque faible. La rouille jaune est toutefois présente sur les variétés sensibles et les pluies du week-end du 18/19 avril pourraient favoriser...
La sécheresse persiste depuis le 10 mars, ce qui joue sur la valorisation des derniers apports d’azote et sur le pilotage de ceux à venir.
Avec les conditions compliquées de ces derniers mois, se posent des questions autour de la fertilisation azotée : comment ont été valorisés les apports déjà réalisés et quelle stratégie mettre en œuvre pour la suite ? Eléments de réponse.
La forte pluviométrie enregistrée jusqu’à la mi-mars a favorisé les contaminations des deux principales maladies des orges : l’helminthosporiose et la rhynchosporiose. Les spores de ces champignons vont progressivement évoluer sur les différents...
Les situations observées dans les parcelles sont très hétérogènes en raison de l’étalement des dates de semis et de l’excès d’eau hivernal.
A partir du stade 2 nœuds, les blés deviennent sensibles à la septoriose. C’est donc le cas des semis d’octobre, qu’il faut surveiller de près. Le T1 ne presse pas, mais il faut rester vigilant quant à l’évolution de la pluviométrie et des...
Après les pluies surabondantes de l’automne et l’hiver, une période très sèche s’est installée à partir de mi-mars. Les rares épisodes pluvieux survenus depuis sont le plus souvent insuffisants pour valoriser en tout ou partie les apports d’azote...
Depuis octobre, le secteur linier a reçu des cumuls de pluie qui battent des records. Les sols sont par conséquent aujourd’hui saturés en eau. Même si les prévisions indiquent une pluviométrie plus faible pour les semaines à venir, il convient...
Cette année, le risque de carence en soufre sur céréales est favorisé par la forte pluviométrie enregistrée depuis le début de la campagne. Les doses de l’apport doivent tenir compte de ce niveau de pluies et du type de sol.
Le fractionnement des apports d’azote est nécessaire pour maximiser la valorisation des apports d’azote en trois, quatre ou cinq apports selon la dose à répartir. Recommandations sur les stratégies de fertilisation à mettre en place selon la...
Suite à l’excédent de pluie tombée de l’automne, le soufre a été exposé au lessivage dans de nombreux sols. Dans ce contexte, il est nécessaire d’évaluer le besoin en soufre de ses parcelles.
Forte pluviométrie et températures douces hivernales marquent ce début de campagne. Avec l’échelonnement des semis de céréales, il faut s’attendre à une grande variabilité de stades, selon la qualité des implantations ou les cumuls d’eau...
Avec le risque de carence en soufre cette année, un apport d’engrais est à programmer pour cette sortie d’hiver.
Excès d’eau et douceur hivernale ont marqué ce début de campagne des céréales 2019/2020. Les semis ont été très échelonnés et les situations sont très hétérogènes. Ce qui impacte la gestion des interventions de sortie d’hiver.
Avec la forte pluviométrie enregistrée depuis l’automne 2019, les semis de céréales ont pu être échelonnés et les traitements herbicides ont connu quelques perturbations en termes de positionnement et/ou d’efficacité-sélectivité. Le point sur les...
Douceur des températures et excès d’eau accompagnent le développement des céréales depuis début octobre 2019 dans les plaines et sur les plateaux de l’Yonne et de la Côte-d’Or. Les cultures présentent aujourd’hui un état de croissance très variable...
Les situations rencontrées ainsi que l’état des parcelles de céréales sont très hétérogènes dans notre région. Dans ce contexte, il est nécessaire de bien raisonner les prochaines interventions au champ.
Selon les prévisions, les semis d’octobre seront majoritairement à épi 1 cm d’ici la fin du mois, un stade-clé pour épandre de l'azote. Retour sur les facteurs à prendre en compte pour optimiser l'efficacité de la fertilisation.
Benoît Méléard fait le point sur les conditions de fin de cycle qui influencent les critères technologiques et sanitaires des céréales.
Météo France a mis au point un réseau de 24 radars météos. Ces systèmes permettent d’apporter en temps réel une information sur la présence ou non de la pluie, et la quantité d’eau tombée à un endroit précis. Le radar offre une vision beaucoup plus...
L'évolution du climat ces dernières décennies conduit les agriculteurs à modifier les pratiques culturales du maïs. Ainsi, les dates de semis ont été en moyenne avancées et les variétés cultiviées sont en général plus tardives lorsque les sommes de...
L'année 2011 s'est montrée très atypique au niveau climatique : printemps sec et chaud, faibles cumuls pluviométriques… Comment se situe cette année dans le contexte de changement climatique ? Quelle est l'évolution climatique observée en France...
Le triticale est plus sensible à la germination sur pied que les autres céréales. Dans certains secteurs les températures faibles concomitantes avec une pluviométrie élevée ont largement favorisées la germination des grains de triticale dans des...
En région méditerranéenne, la pluviométrie printanière peut être très aléatoire ! En tenant compte des réserves en eau du sol à la sortie d'hiver, des irrigations bien placées dans le cycle de la culture permettent de sécuriser la production d'un...