En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des contenus adaptés à votre région et réaliser des statistiques.
50 résultats.
Suite à la forte pluviométrie enregistrée depuis cet automne, les céréales 2020/2021 sont exposées à des risques de carence en soufre. Les clés pour évaluer l'intérêt d'un apport dans ses parcelles.
Les conditions de levée et de croissance ont été bonnes pour les céréales durant l’automne, qui sont actuellement en plein tallage. Un apport d'azote à ce stade peut se justifier dans certaines situations. A raisonner selon le niveau des reliquats...
Des plaques de jaunissement plus ou moins grandes peuvent être observées dans les parcelles de blé dur, et vont probablement s'amplifier avec la reprise de la végétation et le ressuyage des sols. Panorama des causes possibles, en attendant de...
Le fractionnement de la dose d'azote est recommandé dans tous les cas pour optimiser l'efficacité des apports sur blé dur.
Entre les importants épisodes de pluie en octobre, décembre et janvier-février, les pluies cumulées sont actuellement au-dessus de la médiane, entraînant dans de nombreuses situations une lixiviation des éléments minéraux mobiles, comme l’azote et...
Dans la plupart des situations, les besoins en azote des céréales sont encore modérés et couverts par la minéralisation du sol. Mais les stocks sont faibles sur les sols superficiels et s’amenuisent dans les sols les plus profonds. La demande des...
Au vu des forts niveaux de pluies depuis le début de la campagne 2020/2021, les risques de carences en soufre sont élevés.
Le pilotage de l’azote sur blé tendre commence dès le premier apport : comment le raisonner ? Le point sur la situation dans notre région.
Selon les estimations en céréales, de nombreuses situations nécessitent un apport de soufre.
Selon les estimations, il est nécessaire d’apporter du soufre dans toutes les parcelles de céréales.
Une bonne nutrition azotée des plantes est souvent synonyme de bonnes conditions de valorisation des apports d’azote, avec comme facteur principal les pluies après les épandages. Le printemps 2020 a été inédit avec 50 jours sans pluie à partir de...
La douceur de l'automne 2020 a permis de bonnes conditions d’implantation des céréales. Dans la majorité des situations, les cultures présentent actuellement un état végétatif favorable.
L’azote présent dans le sol est largement suffisant pour couvrir les faibles besoins des cultures dans les prochaines semaines. Aucun apport d’azote n’est à envisager avant mi-février.
Comme pour l’azote, un apport de soufre n'est pas encore d'actualité. Mais, il est déjà possible d'identifier les zones à risque de carence.
Les conditions climatiques de cet automne ont été relativement favorables à la présence continue de pucerons dans les parcelles de céréales, notamment en lien avec la douceur en novembre et le redoux mi-décembre.
Sur céréales, le premier apport d’azote au tallage permet d’accompagner la plante jusqu’au stade épi 1 cm. Cette année, plusieurs situations se présentent dans la région. Le point sur les stratégies d’apport possibles.
Les limaces profitent des conditions météo favorables, provoquant de nombreux dégâts dans les céréales. Pour les pucerons, pluie et froid freinent enfin leur activité.
Les graminées automnales, ray-grass et vulpins notamment, sont déjà bien présentes dans les parcelles de céréales déjà semées.
La campagne 2019/2020 a été marquée par des conditions difficiles dès le début, impactant la conduite des semis. Voici quelques clés de raisonnement pour les implantations à venir.
Les parcelles de maïs grain ont une avance d’une quinzaine de jours et la météo est en faveur de la dessication des grains : les récoltes devraient démarrer sous peu.
Les maïs précoces ont déjà démarré la floraison depuis début juillet. Les prévisions météorologiques des prochains jours n’annonçant pas de pluie mais des températures élevées, il est important de bien suivre ses tours d’irrigation.
Dans les secteurs les plus précoces, le blé tendre entame sa floraison. C'est le moment d'évaluer le risque fusariose des épis, maladie qui peut causer d'importantes pertes de rendement et dégrader la qualité sanitaire de la récolte.
Les blés sont en pleine floraison cette semaine. A ce stade, les pluies survenant à plus ou moins 7 jours jouent sur le risque fusarioses des épis. Voici quelques clés pour estimer le risque à la parcelle.
Depuis fin avril, la pluviométrie importante favorise le développement des maladies, sur feuilles et sur épi. Face au risque fusarioses qui s’intensifie, il est nécessaire d’adapter ses interventions en fonction de la date de semis et de ce qui a...
Les pluies récentes et à venir favorisent le risque de fusarioses sur les blés, qui atteignent actuellement - ou bientôt - le stade floraison. Un traitement fongicide au plus proche de ce stade est à prévoir.
Avec les pluies actuelles, le risque fusarioses des épis augmente dans les blés. Il est nécessaire de rester aux aguets sur le début floraison des parcelles, notamment en cas de risque agronomique élevé.
Les semis tardifs de céréales, réalisés courant janvier, atteignent le stade dernière feuille pointante à étalée. Le plus souvent, le dernier apport d’azote n’a pas encore été réalisé. En avançant dans le mois de mai, le risque de sécheresse et de...
Les céréales à paille atteignent dans la majorité des cas le stade dernière feuille pointante. L’hétérogénéité des situations de l’année se ressent : une minorité de parcelles est encore autour du stade 2 nœuds, voire épi 1 cm, alors que l'épiaison...
Cette fin de montaison est marquée par le retour des pluies après près d’un mois de sec. On peut s'attendre à la progression de la septoriose vers les étages foliaires supérieurs. Comment adapter la protection fongicide sur des blés aux stades très...
Les conditions climatiques hivernales et printanières ont favorisé le développement des blés, qui ont pris beaucoup d’avance (entre 6 et 13 jours en blé tendre). Les premières floraisons sont observées, elles sonnent le moment d’évaluer le risque...
Les pluies récentes et à venir sont particulièrement en faveur des maladies des feuilles et des épis sur blé dur. Voici quelques stratégies fongicides proposées selon la situation de la parcelle.
Il est toujours possible de corriger une carence en azote jusqu’à la fin de la montaison des céréales. La plante a capacité à convertir cet azote à la fois en grains et en protéine, sous réserve de cumuler une pluviométrie suffisante suite à...
Les températures douces de cet hiver et de ce début de printemps ont accéléré le développement des cultures de blé, qui sont désormais très en avance. Dans un contexte de situations très hétérogènes, il est d’autant plus nécessaire d’évaluer le...
Les semis de maïs sont en cours, c’est aussi le moment de penser au désherbage… Dans le cas d’une impasse en prélevée, une intervention en postlevée constitue une alternative intéressante à certaines conditions.
Tout comme aux printemps 2011, 2014 et 2017, la sécheresse prolongée au moment de la montaison pose un certain nombre de questions quant à la gestion de la fertilisation azotée et l’interprétation des outils de pilotage. Pour que le dernier apport...
Avec l’absence de pluie depuis plus d’un mois, l’absorption des apports d’azote réalisés à épi 1 cm peut être affectée. Il est nécessaire d’adapter la gestion des prochains et derniers apports d’azote.
Depuis mi-mars, le climat a plutôt freiné le développement des maladies foliaires sur blé, induisant un risque faible. La rouille jaune est toutefois présente sur les variétés sensibles et les pluies du week-end du 18/19 avril pourraient favoriser...
La sécheresse persiste depuis le 10 mars, ce qui joue sur la valorisation des derniers apports d’azote et sur le pilotage de ceux à venir.
Avec les conditions compliquées de ces derniers mois, se posent des questions autour de la fertilisation azotée : comment ont été valorisés les apports déjà réalisés et quelle stratégie mettre en œuvre pour la suite ? Eléments de réponse.
La forte pluviométrie enregistrée jusqu’à la mi-mars a favorisé les contaminations des deux principales maladies des orges : l’helminthosporiose et la rhynchosporiose. Les spores de ces champignons vont progressivement évoluer sur les différents...
Les situations observées dans les parcelles sont très hétérogènes en raison de l’étalement des dates de semis et de l’excès d’eau hivernal.
A partir du stade 2 nœuds, les blés deviennent sensibles à la septoriose. C’est donc le cas des semis d’octobre, qu’il faut surveiller de près. Le T1 ne presse pas, mais il faut rester vigilant quant à l’évolution de la pluviométrie et des...
Après les pluies surabondantes de l’automne et l’hiver, une période très sèche s’est installée à partir de mi-mars. Les rares épisodes pluvieux survenus depuis sont le plus souvent insuffisants pour valoriser en tout ou partie les apports d’azote...
Depuis octobre, le secteur linier a reçu des cumuls de pluie qui battent des records. Les sols sont par conséquent aujourd’hui saturés en eau. Même si les prévisions indiquent une pluviométrie plus faible pour les semaines à venir, il convient...
Benoît Méléard fait le point sur les conditions de fin de cycle qui influencent les critères technologiques et sanitaires des céréales.
Météo France a mis au point un réseau de 24 radars météos. Ces systèmes permettent d’apporter en temps réel une information sur la présence ou non de la pluie, et la quantité d’eau tombée à un endroit précis. Le radar offre une vision beaucoup plus...
L'évolution du climat ces dernières décennies conduit les agriculteurs à modifier les pratiques culturales du maïs. Ainsi, les dates de semis ont été en moyenne avancées et les variétés cultiviées sont en général plus tardives lorsque les sommes de...
L'année 2011 s'est montrée très atypique au niveau climatique : printemps sec et chaud, faibles cumuls pluviométriques… Comment se situe cette année dans le contexte de changement climatique ? Quelle est l'évolution climatique observée en France...
Le triticale est plus sensible à la germination sur pied que les autres céréales. Dans certains secteurs les températures faibles concomitantes avec une pluviométrie élevée ont largement favorisées la germination des grains de triticale dans des...
En région méditerranéenne, la pluviométrie printanière peut être très aléatoire ! En tenant compte des réserves en eau du sol à la sortie d'hiver, des irrigations bien placées dans le cycle de la culture permettent de sécuriser la production d'un...