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Pour le calcul du bilan azoté 2021, la valeur A définitive, qui correspond au coefficient de minéralisation de l’année précédente, est de 160 kg N/ha.
Les conditions de l’automne 2020 ont été propices à l’installation des céréales.
Les limaces profitent des conditions météo favorables, provoquant de nombreux dégâts dans les céréales. Pour les pucerons, pluie et froid freinent enfin leur activité.
Températures douces, absence de pluies, quelques amplitudes thermiques importantes ponctuellement… les conditions de l’automne ont favorisé l’apparition de symptômes sur feuilles de céréales, d’origine physiologique ou liés à des phytotoxicités...
Ce flash info fait le point sur la fin de la récolte des pommes de terre de fécule, la baisse des températures en cours et la situation particulière des silos extérieurs, avec des préconisations pour poursuivre le séchage et le refroidissement des...
Les implantations de céréales reprennent à la faveur du récent retour des pluies. Rappel de quelques éléments-clés pour maîtriser les adventices dès les semis.
Le retour de la pluie permet de réaliser des faux-semis.
Le retour des pluies a permis aux sols de se ré-humecter et aux parcelles de reverdir. Avant de semer, la préparation du lit de semences doit être rigoureusement menée afin d’optimiser le contrôle des adventices.
Les semis de céréales ont démarré. Avec les conditions sèches de l’interculture, repousses et adventices n’ont pas pu encore germer. Pour optimiser le désherbage de prélevée, il est nécessaire d’attendre le retour des pluies.
En 2019-2020, la région Bourgogne-Franche-Comté cumule 378 000 ha de blé tendre d’hiver, dont plus de la moitié dans les départements de l’Yonne, de la Côte d’Or et de la Nièvre. Retour sur les faits marquants de cette campagne.
C’est à l'issue d’une campagne culturale hors-norme, marquée par des épisodes contrastés de pluie et de sécheresse, que les moissons 2020 s’achèvent. Les rendements sont très hétérogènes et la production 2020 en recul par rapport à l’an dernier,...
Pour cette campagne 2019/2020, les rendements en céréales sont fortement hétérogènes selon les conditions d’implantation (excès d’eau à l’automne), la date de semis, le précédent cultural, la profondeur du sol, la maîtrise des pucerons. En sols...
Le bulletin ABDD n°19 est disponible en ligne. Il revient sur le climat de la campagne céréales 2019/2020 et les points-clés de la conduite des cultures, et notamment du blé dur.
Les premières récoltes de maïs fourrage pourraient commencer aux alentours du 20 août. Si le stress hydrique perdure ou s’intensifie, les dates optimales de récoltes pourraient être avancées.
Les orges d’hiver ont connu beaucoup de déboires en 2020 : une mise en place du peuplement sous la pluie, une montaison dans le sec et parfois du gel… Retour sur cette campagne.
Les maïs précoces ont déjà démarré la floraison depuis début juillet. Les prévisions météorologiques des prochains jours n’annonçant pas de pluie mais des températures élevées, il est important de bien suivre ses tours d’irrigation.
La météo est peu propice au mildiou sur pommes de terre. Mais avec les pluies annoncées, surveillez de près les parcelles.
Depuis fin juin / début juillet, de nombreux secteurs sont exposés à des pluies régulières, qui favorisent le risque mildiou sur pommes de terre. En cas de forte pression, il est nécessaire d’intervenir avec les produits adéquats.
La majorité des maïs ont dépassé le stade 10 feuilles, qui marque le début de la période de valorisation de l’irrigation en cas de déficit hydrique. Les plus précoces approchent le stade 15 feuilles, et seront alors davantage exposés au risque de...
Après l'excès d'eau hivernal, la sécheresse printanière et le retour de pluies localisées conduisent aujourd'hui à des situations très contrastées dans les parcelles de blés et d'orges. Dans cette diversité de cas, nous vous proposons un tour de...
Les blés sont en pleine floraison cette semaine. A ce stade, les pluies survenant à plus ou moins 7 jours jouent sur le risque fusarioses des épis. Voici quelques clés pour estimer le risque à la parcelle.
La sécheresse a sévi dans la région pendant près de 50 jours, au cours de la montaison des céréales. Fin avril, les pluies étaient enfin de retour. Dans ces conditions, les céréales vont-elles pouvoir récupérer ? Plusieurs scénarii se dessinent.
Après plusieurs jours consécutifs de précipitations marquées (à fort effet rebondissant), on peut s’attendre à des contaminations tardives de septoriose sur les derniers étages foliaires du blé.
Les pluies récentes et à venir favorisent le risque de fusarioses sur les blés, qui atteignent actuellement - ou bientôt - le stade floraison. Un traitement fongicide au plus proche de ce stade est à prévoir.
La pression maladies s’intensifie dans les parcelles de céréales. Les nouvelles feuilles ont été contaminées suite aux pluies d’avril, tout comme les épis avec les fusarioses. Le point maladie par maladie.
Fortes précipitations, inondations, grêle… les conditions climatiques ont été particulièrement marquantes le week-end du 9 et 10 mai. Certains secteurs ont pu recevoir jusqu’à 150 mm de pluie en 24 h ! Présentation des impacts possibles.
Alors que les conditions climatiques depuis le début de la campagne ont déjà déstabilisé la conduite des cultures, les pluies orageuses enregistrées ces derniers jours apportent des inquiétudes supplémentaires. Le maïs et les céréales à paille de...
Retour des pluies, cumuls de températures élevés depuis le début de la campagne… les indicateurs sont en faveur d’un développement actif des maladies, septoriose et rouilles, sur blé. Présentation de la situation des parcelles en fin de montaison.
Après une longue période d’absence, les pluies ont fait leur retour en Lorraine à partir de la fin avril. Quelles conséquences sur les céréales ?
Avec les pluies actuelles, le risque fusarioses des épis augmente dans les blés. Il est nécessaire de rester aux aguets sur le début floraison des parcelles, notamment en cas de risque agronomique élevé.
Les semis tardifs de céréales, réalisés courant janvier, atteignent le stade dernière feuille pointante à étalée. Le plus souvent, le dernier apport d’azote n’a pas encore été réalisé. En avançant dans le mois de mai, le risque de sécheresse et de...
L’absence de pluie pendant un mois autour du stade épi 1 cm a pu entraver la valorisation des apports d’azote sur blé. L’utilisation d’un outil de pilotage va permettre de diagnostiquer l'état des besoins azotés des plantes pour ajuster la dose du...
Les céréales à paille atteignent dans la majorité des cas le stade dernière feuille pointante. L’hétérogénéité des situations de l’année se ressent : une minorité de parcelles est encore autour du stade 2 nœuds, voire épi 1 cm, alors que l'épiaison...
Cette fin de montaison est marquée par le retour des pluies après près d’un mois de sec. On peut s'attendre à la progression de la septoriose vers les étages foliaires supérieurs. Comment adapter la protection fongicide sur des blés aux stades très...
Les pluies récentes et à venir sont particulièrement en faveur des maladies des feuilles et des épis sur blé dur. Voici quelques stratégies fongicides proposées selon la situation de la parcelle.
Le blé tendre, le blé dur et même l’orge peuvent actuellement abriter des pucerons. Pas d’inquiétude s’ils sont sur les feuilles. Par contre, en cas de présence sur épis, vigilance. Les dernières pluies leur ont été défavorables, mais un temps sec...
A l’instar du printemps 2017, les conditions climatiques actuelles sont très sèches. Ce qui impacte la valorisation des engrais azotés dans les céréales. Il est nécessaire d’adapter le pilotage du dernier apport d’azote selon la situation.
Alors que les premières parcelles de blé dur et de blé tendre atteignent l’épiaison, les cécidomyies orange ont été d’ores et déjà repérées au sud du Centre. Les prévisions météo (vent et pluies) ne sont pas en leur faveur. Mieux vaut toutefois...
Avec les épisodes de pluie récents et prévus, les contaminations de septoriose, de rouille jaune et de fusarioses sont actives sur blé dur. Le bulletin ABDD n°13 de la campagne 2019/2020 propose quelques préconisations en matière de stratégies...
La septoriose est présente sur les feuilles basses des blés, même sur les variétés peu sensibles. Le risque reste plutôt faible actuellement, mais les nouvelles pluies pourraient changer la donne. Alors, pour le T1, impasse ou non ? Eléments de...
L'avance des blés, toujours de 10-15 jours, et les conditions sèches depuis mi-mars expliquent la présence discrète de septoriose sur les étages foliaires supérieurs. Aucune pluie significative n’étant annoncée d’ici le début du mois de mai, un...
Tout comme aux printemps 2011, 2014 et 2017, la sécheresse prolongée au moment de la montaison pose un certain nombre de questions quant à la gestion de la fertilisation azotée et l’interprétation des outils de pilotage. Pour que le dernier apport...
Ces dernières semaines ont été marquées par de fortes variations météorologiques, avec des records atteints en région Est (peu de pluie, fort rayonnement…). Pour accompagner les producteurs dans ce scénario compliqué pour la conduite des céréales à...
Avec une quasi-absence de pluies depuis plus d’un mois, associée à des températures très élevées et du vent qui dessèche la surface du sol, tout est réuni pour contrarier le désherbage du maïs en prélevée. Que faire ?
Avec l’absence de pluie depuis plus d’un mois, l’absorption des apports d’azote réalisés à épi 1 cm peut être affectée. Il est nécessaire d’adapter la gestion des prochains et derniers apports d’azote.
Depuis début mars environ, l’absence de pluie impacte dans certains secteurs la valorisation des apports d’azote positionnés à épi 1 cm du blé. Voici quelques propositions pour réajuster les doses préconisées par les outils de pilotage.
Depuis mi-mars, le climat a plutôt freiné le développement des maladies foliaires sur blé, induisant un risque faible. La rouille jaune est toutefois présente sur les variétés sensibles et les pluies du week-end du 18/19 avril pourraient favoriser...
Après quasiment un mois sans pluie depuis mi-mars, les pluies orageuses tombées selon les zones du 17 au 20 avril sont salutaires pour le potentiel des céréales. Elles vont enfin permettre une valorisation des apports d’azote et corriger en partie...
Après quasiment un mois sans pluie depuis mi-mars, les pluies orageuses du 19 avril sont salutaires pour le potentiel des céréales. Elles vont enfin permettre une valorisation des apports d’azote et corriger en partie le déficit hydrique déjà...
Le retour des pluies profite au blé dur, avec des stades qui s’enchaînent vite.
Les pluies récentes vont accentuer la pression maladies sur blé dur. A surveiller de près et intervenir à dernière feuille étalée si nécessaire.
En semis précoce comme en semis tardif de blé dur, il faut désormais penser à la conduite du dernier apport d’azote.
Depuis le 15 mars, les rares épisodes pluvieux survenus sont le plus souvent insuffisants pour valoriser en tout ou partie les apports d’azote réalisés. Quelle conduite adopter pour la suite de la campagne ?
La sécheresse persiste depuis le 10 mars, ce qui joue sur la valorisation des derniers apports d’azote et sur le pilotage de ceux à venir.
Les légères pluies du week-end pascal ont participé à la diffusion de la septoriose. Un petit tour de plaine est recommandé pour observer ses céréales, notamment les variétés très sensibles.
De nombreuses surfaces, notamment en marais, ont été semées en blé dur ces dernières semaines. Si les références expérimentales sont peu nombreuses, il est quand même possible d’apporter quelques propositions techniques pour ces semis très tardifs,...
Avec les conditions compliquées de ces derniers mois, se posent des questions autour de la fertilisation azotée : comment ont été valorisés les apports déjà réalisés et quelle stratégie mettre en œuvre pour la suite ? Eléments de réponse.
La forte pluviométrie enregistrée jusqu’à la mi-mars a favorisé les contaminations des deux principales maladies des orges : l’helminthosporiose et la rhynchosporiose. Les spores de ces champignons vont progressivement évoluer sur les différents...
Alors que les blés tendres ont pris de l’avance, les blés durs accusent un retard en raison de la mise en place d’une feuille en plus.
Le temps sec persiste, il est nécessaire de raisonner les prochains apports d’azote sur céréales en fonction de la date de semis.
Après les pluies surabondantes de l’automne et l’hiver, une période très sèche s’est installée à partir de mi-mars. Les rares épisodes pluvieux survenus depuis sont le plus souvent insuffisants pour valoriser en tout ou partie les apports d’azote...
Au vu des réserves en eau du sol et du faible niveau des pluies récentes et à venir, le déclenchement d’une première irrigation est à envisager dès cette fin de semaine dans les parcelles en sols superficiels.
Après les cumuls de pluie importants de ces derniers mois, il faut savoir être patient pour reprendre les sols dans de bonnes conditions avant les plantations.
L’absence de pluie depuis une vingtaine de jours est très défavorable au développement de la septoriose sur blé tendre. Compte tenu de la fréquence des variétés très résistantes cultivées dans la région, le « T1 anti-septo » devrait véritablement...
Les températures régulièrement douces depuis la fin de l’automne accélèrent le développement des céréales, à tel point que les semis tardifs ont rattrapé une partie importante de leur retard.
Avec le retour de pluies excédentaires en février/début mars, les apports d’azote réalisés en début de mois ont été correctement valorisés, contrairement à ceux de la deuxième décade.
Températures douces, absence de pluie, ressuyage des sols : les conditions de ces dix derniers jours favorisent la reprise des interventions dans les parcelles. La priorité est au désherbage s’il n’est pas encore réalisé. Quant à la gestion des...
Les pluies répétées et abondantes de ce début d’année ont encore affecté les céréales. L’épisode pluvieux de début mars en particulier, spectaculaire par son intensité (autour de 100 mm cumulés durant la première décade sur la façade Atlantique), a...
Les forts cumuls de pluie enregistrés depuis les semis de céréales d’hiver occasionnent une hétérogénéité de situations en termes de reliquat d’azote et de potentiel de rendement. Le point sur les stratégies d’apport d’azote à mettre en œuvre sur...
Depuis octobre, le secteur linier a reçu des cumuls de pluie qui battent des records. Les sols sont par conséquent aujourd’hui saturés en eau. Même si les prévisions indiquent une pluviométrie plus faible pour les semaines à venir, il convient...
La douceur et la pluie sont toujours au rendez-vous en ce début mars. Sous l’effet des températures douces et de l’allongement de la durée du jour, la montaison arrive précocement cette année, avec une avance de 10 à 15 jours qui compense assez...
Les conditions climatiques particulières de ce début de campagne se traduisent par une forte hétérogénéité des parcelles, en termes de stade, de peuplement et de niveau de croissance, de qualité d’implantation, de pression sanitaire (adventices,...
Avec le climat exceptionnellement doux depuis le début de la campagne, les stades des céréales ont pris une dizaine de jours d’avance dans les parcelles bien drainées. Le stade épi 1 cm est imminent pour les semis de fin octobre.
La douceur constante depuis la fin de l’automne se traduit par une croissance et un développement rapide des cultures, quelles que soient les dates de semis.
Cette année, le risque de carence en soufre sur céréales est favorisé par la forte pluviométrie enregistrée depuis le début de la campagne. Les doses de l’apport doivent tenir compte de ce niveau de pluies et du type de sol.
Suite à l’excédent de pluie tombée de l’automne, le soufre a été exposé au lessivage dans de nombreux sols. Dans ce contexte, il est nécessaire d’évaluer le besoin en soufre de ses parcelles.
Forte pluviométrie et températures douces hivernales marquent ce début de campagne. Avec l’échelonnement des semis de céréales, il faut s’attendre à une grande variabilité de stades, selon la qualité des implantations ou les cumuls d’eau...
Etant donné les fortes pluies qui ont touché certaines régions depuis le début de l’année, il est nécessaire d’évaluer l’impact du drainage sur l’évolution du reliquat azoté en sortie d’hiver mesuré fin janvier/début février.
Cette année, un apport en soufre est à prévoir sur céréales dans bon nombre de situations de la région.
Depuis cet automne, les cumuls de pluie sont très élevés perturbant l’implantation des céréales sur toute la région Normandie, particulièrement en Seine-Maritime et à l’ouest du Calvados. Dans un contexte de situations très variables, voici quelques...
Il n’est pas utile de renforcer les apports d’azote au stade tallage des céréales ! 40-60 unités suffisent.
Excès d’eau et douceur hivernale ont marqué ce début de campagne des céréales 2019/2020. Les semis ont été très échelonnés et les situations sont très hétérogènes. Ce qui impacte la gestion des interventions de sortie d’hiver.
Le réchauffement climatique impacte déjà le territoire français, avec des conséquences potentiellement fortes sur la ressource en eau et les cultures dans les années à venir. Explications avec Olivier Deudon, responsable base de données météo chez...
Le point sur la situation agroclimatique régionale, avec des préconisations sur la conduite de la fertilisation azotée.
Avec les pluies abondantes, nombre de parcelles ont été semées en dehors des périodes habituelles d’emblavement. D’ores et déjà, les potentiels atteignables dans ces situations vont être réduits par rapport à l’habitude. La dose totale...
En automne, la pluie et le brouillard sont fréquents. Bien souvent, la ventilation de refroidissement des grains est arrêtée, les opérateurs pensant que le climat humide va réhumidifier les grains. Cependant, il est préférable de profiter des...
Le stress hydrique et les températures élevées de ces jours-ci ont encore favorisé la maturité des maïs fourrage. Si le temps sec persiste, les chantiers de récolte devraient être plus précoces qu’annoncé, selon les dernières estmations pour un ...
Avec la sécheresse persistante dans de nombreuses régions, les éleveurs ont commencé à entamer les stocks de fourrage pour l’alimentation des animaux. Les cultures en dérobée à l’interculture représentent des ressources possibles. Réussir...
L’état de sécheresse actuelle a pu stopper les opérations de déchaumage dans certaines zones. Les pluies annoncées pour le week-end devraient permettre de pouvoir reprendre ou commencer ces opérations dans de meilleures conditions.
A l'approche de la floraison des céréales, il est important d'évaluer le risque de contamination des épis par la fusariose pour intervenir si besoin. Cette maladie provoque une nécrose précoce d’un ou plusieurs épillets suivie le plus souvent d’un...
Dans le cas d'une efficacité de traitement insuffisante, un désherbage de rattrapage au printemps peut s'avérer nécessaire. Mais attention, vérifiez au préalable les délais avant récolte des produits utilisés, en particulier pour les interventions...
Quand faut-il arrêter d’irriguer le maïs grain en fin de campagne ? Fin août, début septembre ? Pour décider, il faut tenir compte du stade de la culture, mais aussi de l’état hydrique du sol et des prévisions de pluie.
Suite au froid de fin février, la douceur et un temps très humide sont de retour. Le régime de pluies répétées complique fortement la conduite des parcelles.
La sensibilité d’un sol à la battance, à l’origine de ruissellement voire d’érosion, peut être évaluée par des tests de stabilité structurale, assez simples à réaliser.
Les perturbations qui se succèdent depuis le début de l’année peuvent localement engorger les sols. Pour l’instant, les céréales sont à des stades suffisamment robustes mais la séquence climatique de ces prochaines semaines sera déterminante.
La septoriose reste la maladie la plus fréquemment rencontrée sur blé tendre et, avec 17 q/ha de nuisibilité moyenne à l’échelle du territoire sur les dix dernières années, c’est la plus dommageable. Les dégâts peuvent s’élever jusqu’à 50 % dans les...
Malgré un hiver sec et des températures extrêmes au printemps, les maïs ont profité des pluies faibles mais assez bien réparties de l’été pour atteindre un rendement moyen en grain estimé à plus de 103 q/ha à l’échelle du territoire. Retour sur les...
Des pluies sont annoncées la semaine prochaine et pourraient inciter à sortir les semoirs. Toutefois, un semis trop précoce peut être inadapté, notamment dans les parcelles infestées par les adventices. Ainsi, le choix de la date d'implantation doit...
Les pluies de ces dernières semaines et celles en cours font beaucoup de bien aux cultures. Toutefois, le déficit hydrique cumulé depuis des mois dans les situations les plus sèches va engendrer des conséquences irréparables, alors que les parcelles...
La ferme France sort d’une moisson 2016 plus que décevante pour les blés. Mais, toutes les zones de production ne sont pas logées à la même enseigne. Si certaines s’en sortent mieux, d’autres sont dramatiquement touchées. C’est par exemple le cas...
Alors que les moissons se terminent et que les résultats obtenus en Poitou-Charentes sont souvent décevants, voire catastrophiques, notamment pour les blés durs, il est compréhensible de vouloir tout remettre en cause sur l’itinéraire technique,...
Dans un grand nombre de cas, les fortes pluies des mois derniers ont engendré des conditions de portance très limites dans les prairies pâturées conduisant à du piétinement et à leur dégradation. Voici quelques rappels techniques pour les restaurer...
Restructurer des sols tassés, contrôler le développement d’adventices, perturber les populations de limaces… la gestion de l’interculture revêt cette année quelques spécificités dans les régions touchées par les fortes pluies en mai et juin. Le...
Les pluies ininterrompues depuis cinq jours dans certaines régions (en particulier en Ile-de-France et Centre – Val de Loire) provoquent des excès d’eau dans de nombreuses situations, voire des inondations. Quelles conséquences sur les céréales à...
Le temps frais a fortement ralenti le développement des céréales. La majorité des parcelles est actuellement autour du stade Dernière Feuille Pointante. Les pluies régulières depuis fin mars ont permis une bonne assimilation des apports d’azote. Ces...
L'apport au stade épi 1 cm intervient en début montaison des céréales, c’est-à-dire au moment de la reprise de croissance de la culture et donc lorsque les besoins en azote sont forts. Plusieurs facteurs peuvent jouer sur son efficacité.
Des températures douces, des pluies faibles à normales, une absence de fortes gelées... Voilà le cocktail climatique de ce début de campagne.
La production moyenne de maïs fourrage à l’hectare est en recul de 3 tonnes de matières sèches par rapport à l’an passé avec des pertes qui ont pu atteindre jusqu’à 70 % dans les secteurs les plus sinistrés. Le retour des pluies en fin d’été a...
Le retour des pluies ces dernières semaines couplé à des températures encore douces favorise le redémarrage de la pousse de l’herbe et donc la reprise du pâturage. Même si dans bon nombre de région, cette repousse automnale ne suffira pas à couvrir...
Suite aux conditions séchantes de l’année, il peut s’avérer particulièrement important de semer des cultures en dérobée le plus tôt possible pour compléter les stocks fourragers dans les exploitations d’élevage. Plus on implante rapidement une...
Les prairies souffrent du manque de pluie et des fortes chaleurs de ces dernières semaines. La saison de pâturage se termine prématurément. Dans ces conditions, quelques préconisations sont recommandées pour limiter les dégâts sur les bovins :...
Dans certains secteurs, les précipitations en fin de semaine dernière pourraient avoir favorisé les contaminations de septoriose et ont été bénéfiques au développement des rouilles sur blé et orge. Intervenir si possible avant le nouvel épisode de...
Contrairement aux idées reçues, les apports d’engrais azotés de fin de cycle réalisés à partir du stade Dernière Feuille (mi-avril à début mai) bénéficient en général de cumuls de pluie propices à leur valorisation dans la majorité des régions...
L’efficacité des engrais azotés épandus à la surface du sol dépend principalement de la pluie après leur apport.
Choisir le bon moment est primordial pour assurer l’efficacité d’un traitement. Ainsi, il est exclu d’appliquer un produit phytosanitaire lors d’une journée ventée, si le temps est sec ou en cas de forte chaleur.
Les fortes pluies des mois passés ont parfois provoqué des inondations dans les parcelles, suite à la sortie de rivières de leur lit. L’hydromorphie des sols peut avoir des conséquences sur la culture en fonction du stade, mais aussi du niveau...
15 à 20 mm de pluie dans les 15 jours suivant un apport d’engrais azoté sont nécessaires pour valoriser ce dernier. C’est ce qui ressort des expérimentations menées par ARVALIS. S’il est indispensable, ce critère « pluie après l’apport » n’est...
Cause importante de pertes de rendement et de qualité, la verse physiologique est très souvent imputée à des phénomènes climatiques exceptionnels (orages, pluies excessives, etc). Ces facteurs ne sont en fait que les révélateurs d’une culture...
La moisson 2013 est marquée par sa tardiveté, liée aux conditions climatiques survenues pendant la campagne : semis tardifs en lien avec des conditions difficiles d’implantation, froid prolongé en sortie d’hiver, conditions pluvieuses et fraîches au...
Atypique sur le plan climatique, la campagne 2012/2013 a été jusqu'à présent marquée par des températures printanières très faibles, des précipitations en excès et un manque de rayonnement. Les cultures ont pris du retard et il est possible que ces...
La maîtrise de la qualité sanitaire du blé est essentielle pour accéder au marché. Le principal risque sanitaire provient des fusarioses sur épi, et plus particulièrement de Fusarium graminearum, responsable des contaminations en déoxynivalénol...
Sohie Vallade, ingénieur région Sud d'ARVALIS - Institut du végétal, a mené une étude sur les conséquences du changement climatique sur le pilotage de la fertilisation azotée du blé dur. D'après celle-ci, la stratégie de fertilisation ne devrait...
En raison des retards pris lors des semis et du froid survenu tardivement, les cultures sont aujourd'hui peu développées. Le stade épi 1 cm pourrait arriver avec une semaine de retard environ.
En l'absence de pluies significatives, les engrais azotés apportés à la culture ne sont pas dissous et donc non assimilables par la plante. Une carence azotée peut alors affecter les céréales à paille si l'azote n'est pas absorbé dans les 20 jours...
Les fortes pluies enregistrées l’automne dernier dans de nombreuses régions ont pu avoir comme conséquence un lessivage important de l’azote minéral du sol. Par conséquent, les niveaux de reliquats azotés sortie hiver devraient être assez faibles....
Météo France a mis au point un réseau de 24 radars météos. Ces systèmes permettent d’apporter en temps réel une information sur la présence ou non de la pluie, et la quantité d’eau tombée à un endroit précis. Le radar offre une vision beaucoup plus...
Alors que les difficultés sur la ressource en eau s’accentuent sur plusieurs bassins versants avec les fortes chaleurs et l’absence de pluie, la fin de la campagne d’irrigation sur maïs est heureusement en vue pour les premiers semis de fin mars /...
Un mois d’avril pluvieux et frais fait suite à un début de printemps particulièrement chaud et sec. Dans beaucoup de situations, ces pluies ont permis de lever le stress hydrique et la nutrition azotée des céréales a repris normalement. En revanche,...
Depuis début avril, les séquences de pluies ininterrompues sont très favorables au développement de la septoriose.
Depuis le dernier bilan réalisé au 10 avril, 170 000 hectares de maïs ont été semés, ce qui porte les surfaces implantées à 720 000 hectares au 20 avril, essentiellement du maïs grain. Les semis sont aujourd’hui interrompus par les pluies...
Les dernières précipitations ont amélioré la situation hydrique dans la plupart des régions. Cependant, pour les régions du Sud-Est de la France et les sols les plus superficiels, ces pluies sont trop tardives car le potentiel de rendement des...