30 résultats.
Le phosphore (P) et la potasse (K) sont des éléments majeurs, indispensables à la productivité et la pérennité des prairies. Selon les situations, les besoins en P et K sont variables. Pour optimiser les apports, le pilotage est donc nécessaire....
A partir du stade 3-4 feuilles, la plante de maïs ne dépend plus des réserves du grain, c’est donc le moment où des troubles liés à des carences peuvent se manifester. Identifier ces carences permet d’entreprendre de possibles apports correctifs...
Avec le prix élevé des engrais minéraux, de nombreuses offres d’engrais liquides à utiliser en pulvérisation foliaire sont proposées aux agriculteurs en remplacement d’engrais classiques appliqués sur le sol. ARVALIS fait le point sur l’intérêt de...
Utilisés à bon escient, les effluents d’élevage ou engrais de ferme sont très bien valorisés par le maïs. Ils permettent une économie importante sur le poste achat d’engrais. Si les conditions de portance des sols sont favorables, il est déjà temps...
Pour réaliser un plan de fumure en tenant compte de l'épandage des produits organiques, il faut connaître leurs valeurs fertilisantes. Des coefficients d'équivalence engrais ont été établis de manière à exprimer l'efficacité d'un engrais organique...
Lancé le 1er octobre 2020 pour une durée de 3 ans et demi, le projet CASDAR PhosphoBio(1), piloté par ARVALIS(2), traite des enjeux de la fertilité phosphatée en Agriculture Biologique. Il se décline en trois actions majeures.
Dans le cadre du projet PhosphoBio lancé en 2020, un réseau d’environ 200 parcelles va permettre d’en savoir plus sur la gestion du Phosphore en Agriculture Biologique et sur les enjeux qui en découlent.
L’ensemble des parcelles de l’observatoire PhosphoBio étant désormais bien identifiées, la campagne de prélèvements et d’analyses de terre ainsi que les enquêtes sur les pratiques culturales peuvent démarrer.
Suivant le niveau d'exigence de la culture et la teneur en PK dans le sol, il est possible ou non de réaliser une impasse. Le passé de fertilisation et la restitution ou non des résidus de culture du précédent sont également des éléments à prendre...
Les composantes de la fertilité des sols sont de mieux en mieux appréciées. Des travaux tentent même de dresser la carte de l’état des sols en France. Le point avec Thibaud Deschamps, spécialiste sur la connaissance et la gestion durable des sols...
A partir d’un réseau de 200 parcelles conduites en agriculture biologique, le projet Casdar Phosphobio, piloté par ARVALIS, se donne 3 ans pour, entre autres, proposer un guide de diagnostic de la fertilité phosphatée en AB.
Pour ajuster les apports en phosphore et en potassium, il est important de connaître ce que le sol contient au départ. Revue de détails des teneurs seuils par région et type de sol établies par ARVALIS.
Depuis 2009, ARVALIS évalue la faisabilité d’un système céréalier bio autonome en azote sur sa station de Boigneville (91). Présentation des premiers résultats techniques.
Le phosphore (P) et le potassium (K) sont des éléments majeurs pour la croissance des plantes. Ils contribuent respectivement au développement racinaire et à la croissance foliaire. Ils influencent donc la productivité et la pérennité des prairies....
Avec les difficultés d’implantation de céréales à l’automne dernier, la surface de blé dur implantée en sortie d’hiver est importante, qu’il s’agisse de surface prévue semée plus tardivement ou de semis en substitution du blé tendre ou de l’orge...
Entre exigence des cultures et disponibilités dans le sol, les apports en phosphore et potassium doivent faire l’objet d’un diagnostic juste et adapté. Pour cela, il est nécessaire de s’appuyer sur des analyses de terre, de bien choisir l’engrais et...
Obtenir un rendement en fibre élevé nécessite le bon déroulement de certaines étapes de l’itinéraire technique, en assurant notamment une croissance régulière des lins tout au long du cycle. Dans cette optique, ARVALIS met à disposition un guide de...
Depuis 2005, un essai implanté dans la Drôme suit l’évolution de la fertilité du sol dans des systèmes de grandes cultures conduits en agriculture biologique. Comment compenser les exports d’éléments minéraux, en particulier de phosphore, dans de...
Les effluents d’élevage peuvent couvrir de 30 à 80 % des besoins en fertilisants du maïs fourrage.
Le terme de produits résiduaires organiques (PRO) recouvre un ensemble considérable de produits organiques utilisés pour leurs propriétés fertilisantes (azote, phosphore, potasse…) et/ou amendantes (organiques et basiques). Les éléments fertilisants...
La localisation de l’engrais au semis du maïs permet d’apporter le phosphore, élément peu mobile, à proximité des racines, ce qui se traduit par une meilleure vigueur au départ. Cette pratique est particulièrement recommandée lorsque les conditions...
Sur orge de printemps, la localisation de la fertilisation au semis est aujourd’hui proposée par de nombreux constructeurs. Mais les gains de rendement sont-ils vraiment au rendez-vous ?
Réussir à conserver la fertilité des sols est un des enjeux du maintien de la productivité, quel que soit le système de production. Thibaut Ray, ingénieur régional en Rhône-Alpes chez ARVALIS – Institut du végétal nous donne les premiers...
Le terme de Produits Résiduaires Organiques (PRO) recouvre un ensemble considérable de produits organiques utilisables en agriculture, retournés au sol, pour leurs propriétés fertilisantes (azote, phosphore, potasse…) et/ou amendantes (organiques et...
Deux facteurs principaux doivent être pris en compte pour choisir la meilleure modalité d’apport des engrais phosphatés et potassiques : la teneur du sol en ces éléments, et le niveau d’exigence de la culture en place. Une attention particulière...
La pomme de terre est une culture exigente en phosphore et en potassium. Le raisonnement sur l'apport des doses est donc une étapes essentielle qui se base sur l'analyse de sol et la méthode COMIFER.
Les apports de phosphore et de potassium peuvent être réalisés en sortie d’hiver principalement lorsqu’ils ont pour objectif le maintien de la fertilité du sol.
Nouvelle méthode COMIFER, obligation de couverts hivernaux, quelques changements récents modifient les règles de décision de fertilisation de la pomme de terre.
La méthode « Comifer » de calcul des doses de fertilisant P et K, mise au point dans les années 90, a fait l’objet d’un « toilettage » récent. Si les principes de départ n’évoluent pas, les grilles de calculs sont actualisées avec les nouvelles...
Les fertilisations phosphatée et potassique sont fondamentales pour assurer la mise en place des racines des espèces prairiales.