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Le retour de la pluie et des températures proches de 15°C sont, depuis la floraison, favorables à la mise en place du poids de mille grains. Une bonne nouvelle pour ces blés qui ont été stressés par le manque d’eau pendant une bonne partie de leur...
Alors que la majorité des blés tendres atteignent la fin de montaison (entre 3 nœuds et fin gonflement), les diagnostics de nutrition azotée indiquent des besoins dans de nombreuses parcelles. Un petit apport peut être positionné malgré les...
Retrouvez les dates, substances et doses préconisées pour protéger les blés qui arrivent en fin de montaison.
La période de fin montaison est (généralement) très favorable à une bonne valorisation des apports d’azote. Avec le retour d’épisodes pluvieux annoncés pour le week-end prochain, le stade dernière feuille pointante est optimal pour démarrer la...
Bientôt le stade 2 nœuds pour les parcelles de blé tendre les plus précoces : c’est le moment d’estimer le risque septoriose et rouilles.
Des symptômes de rouille jaune sont observés sur céréales depuis le début de la montaison. Les conditions climatiques étant propices au développement de la maladie, la vigilance est de mise.
Selon les résultats d’essais, positionner un apport d’azote en fin de montaison s’avère une stratégie gagnante, en ajustant la dose selon les conditions climatiques.
Les céréales sont actuellement entre le stade 1 nœud et dernière feuille pointante, avec des situations variées. Le contexte actuel est propice au pilotage du dernier apport d’azote.
La chute brutale des températures, survenue entre le 1er et le 4 avril dernier après une brève période quasi-estivale, intervient sur des céréales en pleine montaison.
Le report d’une partie significative de la dose totale d’azote prévue sur des apports tardifs de fin montaison présente de nombreux avantages. Dans un contexte de prix des blés élevés et d’engrais azoté très cher, il serait préjudiciable de ne pas...
Pour le troisième apport d’azote positionné en fin de montaison du blé, l’objectif est de réévaluer la mise en réserve prévue lors du calcul de la dose totale. Le recours à un outil de pilotage peut en faciliter la tâche.
Malgré le déficit hydrique actuel, mieux vaut attendre pour déclencher les irrigations sur céréales.
En raison des chantiers de semis très échelonnés cet automne, les stades du blé dur affichent un peu de retard, qui reste toutefois minime.
Les apports d’azote ont été déclenchés majoritairement début mars, parfois par anticipation du stade épi 1 cm. A l’exception de l’Ile-de-France et du nord du Loiret, ces apports ont été bien valorisés, profitant d’un cumul de pluie satisfaisant.
Le point sur les stades des céréales et les prévisions jusqu’à deux nœuds.
Le contexte 2022 sur les engrais incite d’autant plus à fractionner les apports d’azote sur les céréales. L’objectif : optimiser leur efficacité. A raisonner en fonction des prévisions de pluies.
Alors que les céréales abordent leur montaison, la majorité des apports d'azote, réalisés au tallage et/ou au stade épi 1 cm, ont été assez bien valorisés.
Les céréales atteignent le stade épi 1 cm ou très prochainement. C’est le moment d’évaluer le risque de verse pour décider d’une application de régulateur ou non.
Les parcelles de blé tendre entament leur montaison. A ce stade, il est recommandé d’évaluer le risque pour décider s’il est nécessaire d’appliquer ou non un régulateur.
Les conditions de cette campagne sont plutôt favorables au développement hivernal des céréales, favorisant, sous réserve de semis réussis, une bonne implantation et limitant le lessivage, ce qui permet aux cultures de profiter de la minéralisation...
Les parcelles de céréales, pour la plupart bien implantées, présentent un bon développement. Il est recommandé d’attendre le stade épi 1 cm pour positionner le premier apport d’azote.
Les stades des céréales s’échelonnent actuellement entre 2/3 feuilles et le tallage selon la date de semis, avec des maladies encore peu présentes. Retrouvez les dates prévisionnelles du début montaison en blé tendre, blé dur et orge.
Les prix de l’azote étant élevés, toute économie est la bienvenue. Toutefois, il ne faut pas pousser l’économie à l’extrême non plus. Le point sur les situations où un apport au tallage du blé dur s’impose et sur les stratégies de fertilisation pour...
Plusieurs éléments expliquent l'hétérogénéité des situations observées lors de cette campagne blé tendre 2020/2021. En voici le bilan.
Retour sur le déroulement de la campagne 2020/2021 de blé tendre, avec un point sur les rendements et la qualité.
Les résultats escomptés pour la récolte 2021 de blé tendre n'ont pas été au rendez-vous : rendements moyens mais décevants vis-à-vis des potentiels exprimés jusque mi-juin et qualité moyenne à mauvaise selon la date de récolte. Rétrospective de la...
Les années passent et ne se ressemblent pas : contrairement à 2020, la campagne 2021 a été fraîche et plutôt arrosée. Les conditions d’implantation et la montaison lente des orges ont favorisé la mise en place d’un nombre d’épis important....
Il est toujours possible de corriger une carence en azote jusqu’à la fin de la montaison des céréales. La plante a capacité à convertir cet azote à la fois en grains et en protéine, sous réserve de cumuler une pluviométrie suffisante suite à...
Dix jours après les fortes gelées, les symptômes liés à d'éventuels dégâts ont normalement eu le temps d’apparaître sur les céréales à paille. C'est le moment d'évaluer la situation de manière fine et quantitative.
Au regard du stade de développement et des températures relevées dans la région, il convient de relativiser les conséquences du coup de froid de la semaine dernière sur les céréales.
Le thermomètre est descendu localement entre -4°C et -8°C sous abri dans les nuits du 5 et du 6 avril. Quelques éléments pour appréhender l’impact du froid sur les céréales.
La chute brutale des températures observée la semaine dernière - après une brève période quasi-estivale - intervient sur des céréales en montaison. Pour les parcelles au stade 2 nœuds, l’impact de ces gelées devrait être relativement limité, compte...
La chute brutale des températures observée la semaine dernière - après une brève période quasi-estivale - intervient sur des céréales à paille en pleine montaison. Pour les parcelles au stade 2 nœuds, l’impact de ces gelées devrait être relativement...
Le risque de verse est déterminé principalement par quatre critères : la sensibilité de la variété, la densité de tige, le niveau de nutrition azotée en début de cycle et les conditions météorologiques à la montaison (entre le stade épi 1 cm et le...
Souvent très denses à la montaison, les orges d’hiver et escourgeons sont plus exposés à la verse que le blé tendre. Il est donc essentiel de faire un diagnostic de ce risque. Focus sur les éléments à prendre en compte pour adapter sa stratégie...
Les aléas météorologiques sont une préoccupation croissante. Jean-Charles Deswarte, agronome et spécialiste en physiologie des plantes chez ARVALIS, détaille les phénomènes qui touchent les céréales à paille en sortie d’hiver.
Les semis étalés sur près de 3 mois, l’excès d'eau hivernal et les conditions chaudes et sèches de ces dernières semaines peuvent conduire à une mauvaise évaluation des stades foliaires des céréales en fin de montaison. Or, si l’irrigation et la...
La chute des températures matinales de cette semaine intervient alors que les céréales d’hiver entament leur montaison. En l’état, il y a peu de raison de s’inquiéter dans la majorité des situations.
Fertilisation azotée, régulateur de croissance, désherbage de rattrapage, fongicide… Le stade « épi 1 cm » constitue un repère pour le raisonnement de nombreuses interventions.
Comparé à 2017, l’épisode de gel du week-end dernier est en tendance moins fort, mais il intervient légèrement plus tard dans le calendrier et dans le cycle des céréales d'hiver. Rappels des situations à risque.
Dans le cycle d’une céréale, le stade « épi 1 cm » symbolise le passage entre la phase de tallage et celle de montaison. Lors de cette étape clé, les plantes sont particulièrement sensibles aux accidents climatiques. Des interventions précises sont...
Les conditions climatiques ont pu pénaliser les céréales d’hiver. L’heure est à l’inventaire de l’état des cultures en place : quelle est l’intensité des dégâts ? Les plantes restantes sont-elles saines et indemnes ? Les conditions climatiques...
Des reliquats azotés faibles à moyens sur des céréales malmenées par les excès d'eau puis le gel militent aujourd'hui pour un premier apport d'azote très modéré, avant de fractionner l'apport principal autour du stade épi 1 cm et de revenir...
Dans cette vidéo, Jean-Charles Deswarte, spécialiste en écophysiologie chez ARVALIS – Institut du végétal, donne quelques règles simples à suivre pour déterminer au champ la présence, ou l’absence, de dégâts sur épis, suite à un épisode de froid...
De nombreuses gelées sont intervenues depuis une dizaine de jours sur des céréales à paille qui se trouvaient à des stades très variés. Leurs conséquences dépendent de leur intensité et du stade des cultures lors de leur survenue. A cela se rajoute...
Dans les situations à forts reliquats azotés, l’impasse de l’apport au tallage des céréales était le premier réflexe à adopter cette année. Le deuxième va être de piloter les apports durant la montaison pour les ajuster aux réels besoin des...
L'apport au stade épi 1 cm intervient en début montaison des céréales, c’est-à-dire au moment de la reprise de croissance de la culture et donc lorsque les besoins en azote sont forts. Plusieurs facteurs peuvent jouer sur son efficacité.
Pour les apports en fin de montaison, l’azote liquide est moins efficace que les autres formes d’azote et il provoque assez souvent des brûlures sur les dernières feuilles, notamment en cas d’utilisation de buses inadaptées. Ces symptômes sont...
Jean-Charles Deswarte rappelle les règles générales pour optimiser le couple « date et densité de semis » pour le blé.
Face au constat que les besoins en azote d'une culture de blé entre le semis et le stade épi 1 cm sont faibles et que dans la plupart des situations la fourniture du sol est capable de les couvrir, ARVALIS dans la région Centre Est a testé la...
Sur blé tendre, l’helminthosporiose est une maladie foliaire peu commune, surtout localisée dans la moitié Nord de la France et principalement en Champagne. Elle présente des symptômes qui peuvent être facilement confondus avec des symptômes non...
Une irrigation bien conduite permet de gagner 5 à 8 q/ha pour un apport de 30mm, mais il faut pour cela tenir compte des besoins en eau des céréales à chaque stade de leur développement, ainsi que des réserves en eau du sol. L'adaptation de la...
En cas de volume d'irrigation limité, il s'agit de privilégier les périodes de forte sensibilité des céréales au stress hydrique. L'irrigation doit couvrir en priorité la période allant du stade « dernière feuille étalée » au stade « grain laiteux...
Un déficit hydrique prolongé se traduit par une réduction du métabolisme de la plante. Il affecte le nombre de grain par unité de surface s'il intervient durant la phase de montaison, et limite le poids de mille grains (PMG) s'il se produit durant...
Evaluer le risque de verse physiologique est essentiel pour décider de la stratégie de lutte à mettre en place. Ce risque dépend du choix de la variété, des techniques culturales, et de facteurs climatiques tels qu'un défaut de rayonnement et/ou des...
Dans l’esprit des producteurs, les opérations de semis peuvent être inconsciemment influencées par les évènements de la campagne passée : modification de la date de semis pour éviter certains stress, ou de la densité de semis pour éviter la verse ou...
Le profil atypique de l’année 2011 ne doit pas servir de base pour établir de nouvelles préconisations de dates de semis. Seules des analyses fréquentielles permettent de décrire correctement le climat d’une région et d’estimer l’intensité et...