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Les réserves hydriques sont actuellement basses. Dans ce contexte, comment piloter l’irrigation et les prochains tours d’eau dans les parcelles de céréales ?
Le stock d’eau du sol utilisable par les plantes est communément appelé réserve utile en eau (RU). Et seule une partie de ce stock, appelée RFU (réserve facilement utilisable), est accessible aux cultures sans qu’elles soient en stress hydrique....
L’électricité est une charge importante chez les exploitants irrigants. L’optimisation des apports d’eau est donc nécessaire. Découvrez la démarche mise en place chez les adhérents du GRCETA en Aquitaine pour réduire les coûts liés à ce poste.
Les blés sont entrés dans une phase de forte sensibilité au déficit hydrique. Les récents épisodes pluvieux ont été très hétérogènes et militent pour adapter le déclenchement des irrigations au cas par cas.
Il est recommandé de déclencher l’irrigation des céréales cultivées sur les sols superficiels pour pallier au déficit des réserves hydriques.
En l’absence de pluies significatives depuis mi-mars dans le Tarn et fin mars dans le Gers et le Lauragais, les réserves en eau s’amenuisent. Et notamment celles des sols superficiels qui sont désormais atteintes, contrairement à celles des sols...
Les potentiels de rendement en blé dur ont été simulés partout dans la Région en prenant en compte uniquement une entrée climatique. Ils permettent de piloter le dernier apport azoté.
Malgré le déficit hydrique actuel, mieux vaut attendre pour déclencher les irrigations sur céréales.
Dans un souci d’économiser l’eau d’irrigation, ARVALIS a évalué l’impact d’un couvert d’interculture et de son mode de destruction sur la quantité d’eau disponible dans le sol pour le maïs grain suivant.
Avec la fraîcheur qui marque cette campagne maïs, les stades ont pris du retard. Ce que confirment les suivis d’humidité, plus élevés qu’habituellement, augurant des récoltes plus tardives.
Sous l’effet de conditions estivales plutôt douces et humides, les maïs présentent à ce jour de bons potentiels dans les situations où le peuplement s’est maintenu après des semis dans le sec.
Face au stress hydrique qui s’accentue, les irrigations doivent être maintenues dans les parcelles de maïs.
Une implantation précoce durant l’été, sous réserve de conditions hydriques favorables à une levée rapide et homogène, permet à la luzerne de s’enraciner profondément et de constituer des réserves glucidiques dans son pivot. Se tenir prêt à semer...
Pour illustrer l’impact de différentes stratégies d’irrigation, ARVALIS a réalisé des simulations économiques pour une ferme-type du Rhône assolée en maïs/blé.
Pour répondre à cette question, ARVALIS a mis en place deux séries d’essais sur la station expérimentale du Magneraud, en Charente-Maritime.
Les maïs arrivent au stade 10 feuilles, stade qui marque le début de sensibilité au stress hydrique. Dans les sols les plus superficiels de la région, les irrigations devront démarrer en l’absence de pluies significatives ces prochains jours.
Dans les sols les plus superficiels de la région, les maïs entrent actuellement en stress hydrique. Si des pluies significatives ne se confirment pas dans les jours à venir, il sera nécessaire de démarrer l’irrigation.
Les blés les plus précoces atteignent les stades critiques de besoins en eau : dernière feuille pointante (DFP) / dernière feuille étalée (DFE) voire gonflement. L’absence de pluies conséquentes depuis mi-février a entraîné dans une majorité de...
Avec l'augmentation des températures, liée au changement climatique, l'évapotranspiration des plantes augmente et le bilan hydrique des sols se dégrade. Sans prise de conscience de la société sur les enjeux liés à l'eau, l'agriculture risque d'être...
Du choix variétal au stockage des grains, de la gestion des bioagresseurs à la conduite de la fertilisation, retrouvez l’essentiel de l’itinéraire technique du blé dur dans un guide de culture de 38 pages.
Le réchauffement climatique impacte déjà le territoire français, avec des conséquences potentiellement fortes sur la ressource en eau et les cultures dans les années à venir. Explications avec Olivier Deudon, responsable base de données météo chez...
A l’instar des céréales à paille, la campagne 2020 en maïs grain aboutit à des résultats très hétérogènes.
Bien gérer son irrigation, c’est préserver les ressources hydriques en mettant en relation éléments naturels et nouvelles technologies.
La télégestion de l’irrigation permet aujourd’hui d’optimiser les apports d’eau. Visite en vidéo de trois exploitations du Sud-Ouest qui utilisent ces nouvelles méthodes de pilotage des cultures irriguées.
Les semis étalés sur près de 3 mois, l’excès d'eau hivernal et les conditions chaudes et sèches de ces dernières semaines peuvent conduire à une mauvaise évaluation des stades foliaires des céréales en fin de montaison. Or, si l’irrigation et la...
Tassements, structures dégradées, sols encroûtés, semis tardifs… les conditions climatiques de l’automne et de l’hiver ont parfois conduit à préparer les sols dans des conditions d’humidité excessive, ce qui pénalise le fonctionnement racinaire des...
Avec les difficultés d’implantation de céréales à l’automne dernier, la surface de blé dur implantée en sortie d’hiver est importante, qu’il s’agisse de surface prévue semée plus tardivement ou de semis en substitution du blé tendre ou de l’orge...
Avec un rendement moyen estimé à 89,3 q/ha en maïs grain et des valeurs de très faibles à normales en maïs fourrage, la campagne 2019 a été parsemée de séquences climatiques stressantes pour les cultures.
L’irrigation des pommes de terre favorise la croissance foliaire, ce qui augmente le risque vis-à-vis du mildiou : les points d’entrée de la maladie sont alors plus nombreux sur la plante, notamment durant la période de croissance active. Quelques...
Après la floraison des blés, en cas de stress hydrique, positionner une irrigation va permettre de limiter une perte de poids des grains, et donc de préserver le rendement.
Les années où les céréales d’hiver sont récoltées tôt, certains agriculteurs y voient la possibilité d’implanter un maïs en suivant afin d’augmenter leur revenu. Ce genre de système est en général envisagé lorsque l’irrigation est disponible, afin...
Alors que la multiplication des aléas incite, autant que possible, à diversifier les cultures pour limiter les risques, le sorgho peut être un bon candidat à l’allongement des rotations. Explications avec Jean-Luc Verdier, ingénieur régional chez...
Après un été très chaud et sec, une diversité de situation à risques se présente au moment de la récolte des pommes de terre, selon la disponibilité en irrigation, le type de production et la précocité de la variété implantée.
Quand faut-il arrêter d’irriguer le maïs grain en fin de campagne ? Fin août, début septembre ? Pour décider, il faut tenir compte du stade de la culture, mais aussi de l’état hydrique du sol et des prévisions de pluie.
L’irrigation par goutte à goutte est souvent présentée comme plus économe en eau par rapport au système par aspersion (20 à 30 % d’économie selon les publications). Qu’en est-il en grandes cultures ? ARVALIS a mis en place un essai sur sa station de...
L’irrigation est souvent jugée à tort comme un facteur aggravant les risques d’entraînement de nitrates vers la nappe phréatique. C’est au contraire un important facteur de valorisation des apports d’azote et de régularité du rendement.
Bien que le sorgho soit une culture moins exigeante en eau que le maïs, sa capacité d’adaptation au stress hydrique atteint des limites en cas de sécheresse estivale marquée. La période de sensibilité maximale au stress hydrique se situe entre le...
L’irrigation favorise la croissance foliaire des tubercules mais augmente également le risque de développement du mildiou. Ce risque peut être renforcé par le type d’irrigation mis en place.
Avec une recharge hivernale historiquement faible cette année dans plusieurs régions, la campagne d’irrigation s’annonce délicate. Thibaud Deschamps, ingénieur régional Poitou-Charentes chez ARVALIS – Institut du végétal, rappelle les solutions à...
La date de fin d’irrigation des céréales répond à des enjeux de rendement, de qualité ou encore de concurrence pour l’utilisation des ressources en eau avec les cultures de printemps. Jean-Louis Moynier, ingénieur régional Poitou-Charentes chez...
La vague de chaleur de la semaine dernière a été exceptionnelle par sa précocité, sa durée et les niveaux de températures maximales atteints. Elle est intervenue alors que les maïs étaient parfois en pleine floraison. Quelles sont les conséquences...
La repousse physiologique est liée à la capacité de la culture à résister à des conditions extérieures (températures élevées, sécheresse) en bloquant le phénomène de tubérisation. La période de canicule actuelle constitue donc un danger immédiat...
Dans l’optique de mesurer les potentialités du goutte à goutte en grandes cultures (économies d’eau et gains de rendements), ARVALIS – Institut du végétal vient de mettre en place un essai sur la station expérimentale du Magneraud (17). Visite du...
Prioriser les apports entre les parcelles et les différentes cultures, selon le milieu et le matériel, est un des enjeux du pilotage de l’irrigation. Précisions de Thibaud Deschamps, ingénieur régional Poitou-Charentes chez ARVALIS – Institut du...
La réception des plants à la ferme constitue une étape importante de la production de pommes de terre.
Le comportement des variétés varie face aux stress hydriques, ce qui offre une clé supplémentaire d’adaptation des stratégies d’irrigation des pommes de terre. Le dispositif expérimental de 2013 est reconduit en 2014 mais livre déjà des pistes.
Les opérations d’implantation tendent à se simplifier pour améliorer le débit des chantiers. Les constructeurs proposent plusieurs options pour combiner tout ou partie des opérations sans modifier le comportement de la culture. Le maître mot reste...
En situation de stress hydrique, la plante met en place des mécanismes d'adaptation pour rééquilibrer son statut hydrique, au dépend d'une fraction de son métabolisme. Suivant l'intensité et la durée du déficit hydrique, la croissance de la plante...
Le choix de la date du démarrage et de la date d’arrêt d’irrigation sur céréales à paille fait toujours l’objet d’interrogations de la part des agriculteurs irrigants. ARVALIS propose des règles simples à observer pour faciliter la prise de décision...
Une irrigation bien conduite permet de gagner 5 à 8 q/ha pour un apport de 30mm, mais il faut pour cela tenir compte des besoins en eau des céréales à chaque stade de leur développement, ainsi que des réserves en eau du sol. L'adaptation de la...
Si l'irrigation permet d'accroître la productivité des céréales, elle peut aussi s'avérer pénalisante si les itinéraires techniques ne sont pas aménagés en conséquence. Ces adaptations portent sur la protection contre la verse et la gestion de la...
En cas de volume d'irrigation limité, il s'agit de privilégier les périodes de forte sensibilité des céréales au stress hydrique. L'irrigation doit couvrir en priorité la période allant du stade « dernière feuille étalée » au stade « grain laiteux...
Le déficit hydrique influence la qualité des grains essentiellement à travers l'absorption et l'assimilation de l'azote. Il joue donc sur la teneur en protéines. Il modifie la densité du couvert et influence le risque de verse qui agit aussi sur...
En l'absence de pluies significatives, les engrais azotés apportés à la culture ne sont pas dissous et donc non assimilables par la plante. Une carence azotée peut alors affecter les céréales à paille si l'azote n'est pas absorbé dans les 20 jours...
Un déficit hydrique marqué au printemps peut sérieusement nuire au développement des céréales à paille tant sur le plan quantitatif que qualitatif. Les sécheresses printanières de ces dernières années incitent de plus en plus de céréaliers à...
Alors que les difficultés sur la ressource en eau s’accentuent sur plusieurs bassins versants avec les fortes chaleurs et l’absence de pluie, la fin de la campagne d’irrigation sur maïs est heureusement en vue pour les premiers semis de fin mars /...
Le changement climatique et l’augmentation de l’évaporation de l’eau ont un impact sur les rendements de blé dur. Le déficit observé ces dernières années est de 15 %. Quelles sont les solutions envisageables pour pallier au problème de sécheresse ?...
En région méditerranéenne, la pluviométrie printanière peut être très aléatoire ! En tenant compte des réserves en eau du sol à la sortie d'hiver, des irrigations bien placées dans le cycle de la culture permettent de sécuriser la production d'un...
En amont de son déclenchement jusqu'à l'arrêt, l'irrigation se base sur différents critères.
Le vent peut entraîner des apports d’eau hétérogènes dans une parcelle. Le manque d’eau ainsi que le surdosage provoquent des pertes de qualité et de rendement des pommes de terre.
La fertigation en culture de pomme de terre permet d’apporter l’azote et le potassium de façon fractionnée par le système de micro-irrigation. Les apports de phosphate sont à éviter par cette technique si l’eau est calcaire. Le nitrate d’ammonium,...
La micro-irrigation par goutteur doit permettre de mettre en place et maintenir le « bulbe » humide sous les goutteurs. Aussi la micro-irrigation démarrera-t-elle plus tôt que l’aspersion.
La pomme de terre est une culture exigeante en eau. L’irrigation permet de réguler les rendements et de mieux maîtriser la qualité des tubercules.
La disponibilité en eau est un facteur particulièrement important dans la formation et la viabilité des tubercules.
Concilier rendement et qualité grâce à une bonne maîtrise de l’irrigation
Conciliez rendement et qualité grâce à une bonne maîtrise de l’irrigation
Le projet Eauption Plus a pour objectif de donner les moyens aux producteurs d’optimiser leur production dans le contexte de ressource en eau actuel et d’anticiper un éventuel contexte de ressource plus limitée.