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Le Règlement (UE) 2021/155, paru le 10 février dernier, fixe une Limite Maximale de Résidus temporaire (LMR-t) à 0,4 mg/kg pour le Chlorprophame (CIPC) suite à son interdiction d’utilisation depuis le 8 octobre 2020 à l’échelle de l’Union...
Pour évaluer l’expansion de la maladie à partir d’une source contaminée en ergot, ARVALIS a conduit deux essais en plein champ en 2011 et 2012. Ces travaux montrent que la dispersion de l'ergot reste limitée à quelques mètres autour du foyer de...
Blé, orge, triticale, seigle, avoine... toutes les céréales peuvent être contaminées par l'ergot. Mais certaines espèces sont plus sensibles à la maladie.
Les limaces profitent des conditions météo favorables, provoquant de nombreux dégâts dans les céréales. Pour les pucerons, pluie et froid freinent enfin leur activité.
L’utilisation du chlorprophame (CIPC) pour le contrôle de la germination des pommes de terre sera interdite en France dès le 8 août 2020. Pour éclairer au mieux les opérateurs et producteurs des conséquences de cette décision, voici quelques...
Les graminées adventices dans ou autour des parcelles constituent le premier facteur d’explication des teneurs en ergot mesurées en culture. Il ne faut pas sous-estimer leur potentiel infectieux.
Les températures douces de ces derniers jours sont favorables à l’activité des pucerons et des cicadelles. L’observation des parcelles doit donc être renforcée !
Les graminées adventices sont sensibles à l'ergot et peuvent amener des sclérotes dans toutes les cultures. Un désherbage minutieux de la parcelle réduit donc le risque de contamination des céréales.
Des sclérotes d'ergot enfouis à plus de 10 cm de profondeur ne peuvent pas émettre de spores dans les cultures.
Bien connaître la biologie de ce champignon permet de comprendre les leviers pour le contrôler. Son cycle de contamination se déroule en 4 étapes.
Après plusieurs jours consécutifs de précipitations marquées (à fort effet rebondissant), on peut s’attendre à des contaminations tardives de septoriose sur les derniers étages foliaires du blé.
La pression maladies s’intensifie dans les parcelles de céréales. Les nouvelles feuilles ont été contaminées suite aux pluies d’avril, tout comme les épis avec les fusarioses. Le point maladie par maladie.
Avec les pluies actuelles, le risque fusarioses des épis augmente dans les blés. Il est nécessaire de rester aux aguets sur le début floraison des parcelles, notamment en cas de risque agronomique élevé.
Avec les épisodes de pluie récents et prévus, les contaminations de septoriose, de rouille jaune et de fusarioses sont actives sur blé dur. Le bulletin ABDD n°13 de la campagne 2019/2020 propose quelques préconisations en matière de stratégies...
La septoriose est présente sur les feuilles basses des blés, même sur les variétés peu sensibles. Le risque reste plutôt faible actuellement, mais les nouvelles pluies pourraient changer la donne. Alors, pour le T1, impasse ou non ? Eléments de...
Pour piloter ses interventions fongicides contre la septoriose du blé, il est important de prendre en compte le stade de la plante, la sensibilité variétale et l’état de contamination du feuillage. Florence Schlageter, ingénieur régional chez...
L’interdiction d’utilisation du chlorprophame (CIPC) dès la prochaine campagne et la réduction attendue de la Limite Maximale en Résidus (LMR) qui en découlera, obligent à être proactif dans le nettoyage des bâtiments de stockage.
La forte pluviométrie enregistrée jusqu’à la mi-mars a favorisé les contaminations des deux principales maladies des orges : l’helminthosporiose et la rhynchosporiose. Les spores de ces champignons vont progressivement évoluer sur les différents...
A partir du stade 2 nœuds, les blés deviennent sensibles à la septoriose. C’est donc le cas des semis d’octobre, qu’il faut surveiller de près. Le T1 ne presse pas, mais il faut rester vigilant quant à l’évolution de la pluviométrie et des...
Pour l’instant, il n’y a pas d’intervention à envisager avant le stade 2 nœuds, que les blés de la région atteindraient aux alentours de mi-avril. Les conditions climatiques à venir seront déterminantes pour le développement des maladies. A...
Le piétin-verse est une maladie inféodée à la parcelle, qui touche uniquement les bas de tiges. Les successions de blé sur blé favorisent la maladie qui se maintient d’une saison à l’autre sur les chaumes, les repousses de céréales, ou les graminées...
Dans un contexte où la maîtrise de l’enherbement des parcelles et l’entretien des bordures des champs se compliquent, la présence d’ergot n’est pas si rare dans notre région. Après la récolte, les sclérotes tombés au sol constituent une source de...
L’irrigation des pommes de terre favorise la croissance foliaire, ce qui augmente le risque vis-à-vis du mildiou : les points d’entrée de la maladie sont alors plus nombreux sur la plante, notamment durant la période de croissance active. Quelques...
A l'approche de la floraison des céréales, il est important d'évaluer le risque de contamination des épis par la fusariose pour intervenir si besoin. Cette maladie provoque une nécrose précoce d’un ou plusieurs épillets suivie le plus souvent d’un...
La contamination d’une récolte par le datura a des conséquences sanitaires importantes. Valérie Bibard, spécialiste en désherbage du maïs chez ARVALIS, rappelle pourquoi il est important de lutter contre le datura et comment le faire.
Si des produits à base de chlorprophame (CIPC) sont appliqués au cours du stockage des pommes de terre pour inhiber leur germination, il est judicieux, par la suite, de ne pas utiliser les bâtiments vides pour d’autres produits agricoles, notamment...
En cas de contamination des plants - ou du sol - par le rhizoctone brun, la gale argentée et/ou la dartrose, le choix du traitement doit tenir compte du débouché de la production de pomme de terre : transformation, fécule ou marchés du frais....
La septoriose reste la maladie la plus fréquemment rencontrée sur blé tendre et, avec 17 q/ha de nuisibilité moyenne à l’échelle du territoire sur les dix dernières années, c’est la plus dommageable. Les dégâts peuvent s’élever jusqu’à 50 % dans les...
L’irrigation favorise la croissance foliaire des tubercules mais augmente également le risque de développement du mildiou. Ce risque peut être renforcé par le type d’irrigation mis en place.
Une gestion adaptée des résidus de maïs présente de nombreux avantages, que la culture suivante soit un blé ou un maïs. Elle permet entre autres d'améliorer le taux de levée de la culture suivante, de limiter le développement de fusarioses et de...
La présence de fusarioses sur les épis des céréales à paille soulève des questions sur la qualité des semences issues de la récolte 2016. Le risque de perte de peuplement au semis est-il élevé ? Nathalie Robin, Ingénieur chez ARVALIS - Institut du...
La fusariose sur épis rassemble plusieurs champignons (Microdochium spp., Fusarium graminearum, …) ayant un impact direct sur le rendement et qui, par leur présence sur ou dans les grains, peuvent aussi provoquer des manques à la levée et des fontes...
Au sommaire : impact des principales fusariotoxines sur les performances et l'état sanitaire du poulet et de la dinde de chair.
Il existe deux types de fusarioses de l’épi du blé tendre : la fusariose « classique » due à Fusarium graminearum, et les fusarioses du genre Microdochium, provoquées par M. nivale et M. majus. A la différence des secondes, le pathogène de la...
Le poids du climat dans l’apparition de fusarioses sur épis de maïs est déterminant. Néanmoins, il est possible de limiter les contaminations en évitant de cumuler les facteurs de risque, notamment par un choix variétal adapté. Retrouvez la synthèse...
Au sommaire de ce numéro : les contaminations croisées liées à l’utilisation d’insecticides de stockage et les rendements des traitements insecticides réalisés au stockage.
Le mildiou est la maladie la plus nuisible et la plus courante pour la pomme de terre. Une attaque précoce peut entraîner des baisses de rendement de l’ordre de 50 %. Cette maladie ne peut être traitée qu’en préventif principalement. Il s’agit de...
La pression rouille jaune aura marqué la campagne 2014 par son importance. Vu les niveaux de contamination, les blés en terre pourraient subir de nouvelles attaques dès le printemps prochain. Selon la météo hivernale, une stratégie de protection...
Les mosaïques sont des virus transmis par Polymyxa Graminis, un champignon du sol. Sur blé, il en existe deux principalement : le virus de la mosaïque des céréales (VMC) et celui de la mosaïque des stries en fuseau du blé (VSFB), auquel le blé dur...
Il est nécessaire de protéger la culture jusqu’au défanage complet afin de limiter la propagation du mildiou.
C’est un champignon qui contamine les racines des graminées. En fin de cycle, il conduit à un échaudage des épis. Aucun traitement foliaire n’est autorisé pour lutter contre le piétin-échaudage. Seul un traitement de semences peut être réalisé pour...
Les essais réalisés par ARVALIS - Institut du végétal en 2012-2013 contre la septoriose confirment l’intérêt des triazoles et du chlorothalonil en T1. Ils démontrent également l’avantage des SDHI en T2.
Les pucerons sont doublement nuisibles car ils prélèvent la sève des jeunes plantes et, surtout, car ils transmettent aux céréales le virus de la jaunisse nanisante de l’orge. Comprendre leurs spécificités biologiques est indispensable pour lutter...
Inscrits parmi les parasites de lutte obligatoire, les nématodes à kyste, Globodera rostochiensis et Globodera pallida peuvent être présents dans certaines parcelles correspondant à des conditions particulières : monoculture ou retour fréquent de la...
Les mycotoxines T-2 et HT-2 sont essentiellement produites par deux espèces de Fusarium : F. langsethiae et F. sporotrichoïdes. L’avoine est de loin l’espèce la plus sensible, suivie de l’orge de printemps, du maïs, et du blé dur. Le choix du...
La maîtrise de la qualité sanitaire du blé est essentielle pour accéder au marché. Le principal risque sanitaire provient des fusarioses sur épi, et plus particulièrement de Fusarium graminearum, responsable des contaminations en déoxynivalénol...
L’helminthosporiose causée par Drechslera teres est la principale maladie observée sur orge. La reconnaître n’est pas toujours aisé tant les symptômes peuvent être variés. Pour limiter les risques de contamination, il faut respecter un délai minimum...
L’ergot du seigle peut affecter toutes les graminées. Les contaminations des parcelles proviennent soit des sclérotes présents dans le sol, soit de lots de semences contaminés. Les pertes de rendement sont faibles. En revanche, l’ergot peut contenir...
Avec la forte pression mildiou de ces dernières semaines, des symptômes commencent à apparaitre en parcelles. Quelle conduite tenir en cas de mildiou déclaré ?
Depuis début avril, les séquences de pluies ininterrompues sont très favorables au développement de la septoriose.
L’oïdium du blé est une maladie, devenue peu fréquente, mais qui peut s’avérer préjudiciable si elle est très présente sur les deux dernières feuilles et sur l’épi. Une intervention fongicide spécifique est par ailleurs coûteuse. Elle ne doit donc...
Le mildiou est actuellement la principale maladie de la pomme de terre. Il affecte à la fois le rendement et la qualité. Pour être efficace, la lutte contre la maladie est réalisée de manière préventive, avant la contamination.
La maîtrise des maladies commence par la prévention du risque de contamination des parcelles. Une approche agronomique permet, dans certains cas, de limiter l’apparition et le développement des maladies. Tour d’horizon des vertus de l’agronomie sur...
Pour le blé dur, essentiellement destiné à l’alimentation humaine, le respect des teneurs maximales en mycotoxines est un enjeu important pour la filière. Du champ au silo, des leviers existent pour prévoir et limiter les risques de contamination.
Des essais ont permis cette année de suivre l’évolution d’une contamination à l’intérieur de l’épi. L’objectif affiché est d’expliquer les pertes de rendement et la dégradation de la qualité sanitaire. Dans la peau d’un champignon.
Dans l’Aisne, le bassin-versant du Péron fait l‘objet de toutes les attentions. Pour limiter, voire supprimer, les contaminations des eaux en produits phytosanitaires et fertilisants, un programme européen Life a été élaboré, qui diagnostique les...