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Les maïs ont atteint avec de l’avance le stade 10 feuilles, marquant le début de la sensibilité au stress hydrique vers fin mai/début juin. Face au manque d’eau, les irrigations ont pu être déclenchées de façon précoce.
Le phosphore (P) et la potasse (K) sont des éléments majeurs, indispensables à la productivité et la pérennité des prairies. Selon les situations, les besoins en P et K sont variables. Pour optimiser les apports, le pilotage est donc nécessaire....
Alors que la majorité des blés tendres atteignent la fin de montaison (entre 3 nœuds et fin gonflement), les diagnostics de nutrition azotée indiquent des besoins dans de nombreuses parcelles. Un petit apport peut être positionné malgré les...
Les stades des blés s’échelonnent entre 3 nœuds et dernière feuille étalée, à la faveur des conditions poussantes. Il est temps de penser au troisième apport. Les outils de pilotage préconisent des apports à adapter selon la pluviométrie annoncée.
Les blés sont entrés dans une phase de forte sensibilité au déficit hydrique. Les récents épisodes pluvieux ont été très hétérogènes et militent pour adapter le déclenchement des irrigations au cas par cas.
Au printemps, les conditions favorables (disponibilité en eau, rayonnement et durée du jour, température…) sont réunies pour la croissance de l’herbe. La pousse est explosive et largement supérieure aux besoins du troupeau au pâturage. Dès lors pour...
Face à la hausse des prix des engrais minéraux, la stratégie de fertilisation à mettre en place cette année sur pomme de terre a pour but d’augmenter l’efficience d’utilisation de l’azote de l’engrais. Pour maximiser la quantité d’azote absorbée par...
La période de fin montaison est (généralement) très favorable à une bonne valorisation des apports d’azote. Avec le retour d’épisodes pluvieux annoncés pour le week-end prochain, le stade dernière feuille pointante est optimal pour démarrer la...
Il est recommandé de déclencher l’irrigation des céréales cultivées sur les sols superficiels pour pallier au déficit des réserves hydriques.
En l’absence de pluies significatives depuis mi-mars dans le Tarn et fin mars dans le Gers et le Lauragais, les réserves en eau s’amenuisent. Et notamment celles des sols superficiels qui sont désormais atteintes, contrairement à celles des sols...
Malgré le déficit hydrique actuel, mieux vaut attendre pour déclencher les irrigations sur céréales.
Compte tenu des prix actuels de l’azote, il faut raisonner au mieux le calcul de la dose d'azote sur maïs pour approcher l’optimum technico-économique, quelle que soit la forme d’azote utilisée.
Les légumineuses présentes dans une prairie contribuent à la fourniture d’azote et permettent de réduire les apports sous forme minérale ou organique. Mais l’impasse totale de fertilisation azotée n’est possible que dans les prairies avec une forte...
Le contexte 2022 sur les engrais incite d’autant plus à fractionner les apports d’azote sur les céréales. L’objectif : optimiser leur efficacité. A raisonner en fonction des prévisions de pluies.
Des symptômes précoces de rouille naine sont signalés sur orges. Mieux attendre au moins le stade 1 nœud pour analyser le risque et agir si besoin en prenant en compte la sensibilité variétale et les autres maladies éventuellement présentes.
Face à la montée des prix de l’engrais, le fractionnement des apports d’azote est d’autant plus incontournable cette année. L’objectif : optimiser l’efficacité de chaque unité apportée.
Dans la plupart des situations, les stocks d'azote du sol sont en mesure de couvrir les besoins des céréales jusqu’à fin mars. Il n’y a aucune urgence à fertiliser. Il y a même un risque de mauvaise efficacité en cas d’apport de dose importante....
L’optimisation des apports d’azote est au cœur des préoccupations actuelles avec les prix records observés pour les engrais azotés. Il est donc plus que nécessaire de raisonner les stratégies de fertilisation pour valoriser chaque unité apportée. Le...
A l’heure des premiers apports d’azote, c’est le moment de s’interroger également sur les besoins en soufre des céréales.
Viser une efficacité maximale de l’azote doit toujours être une finalité, en particulier cette année au vu du contexte sur la flambée du prix des engrais, où chaque unité compte. Plusieurs points sont importants dans cette logique : valoriser au...
En général basé sur trois apports, le fractionnement de l’azote a pour objectif d’alimenter correctement un blé en fonction de ses besoins mais également du climat. A la clé, des gains de rendements et de protéines.
Plus que jamais, le contexte économique actuel pousse à valoriser au mieux chaque unité d’azote apportée. Une recommandation particulièrement vraie pour le premier apport : l’engrais minéral ne doit être apporté qu’en complément de l’azote déjà...
Avec les prix élevés des engrais, l’azote est à raisonner au plus juste selon les besoins réels des blés. Les reliquats de sortie d’hiver (RSH) permettent de gagner en précision sur les doses d’azote prévisionnelles. Le point sur les priorités pour...
Avec des céréales bien implantées, ayant des besoins azotés encore faibles, l’azote présent dans le sol sera largement suffisant pour les couvrir dans les prochaines semaines.
Le raisonnement du calcul de la dose d’azote à fournir aux céréales à paille peut dépendre des variétés, de la zone de production ou encore du débouché visé. Blés, orges, triticale, avoine et seigle… découvrez les besoins en azote des différentes...
Afin de répondre aux enjeux de la qualité du blé tendre dans les filières de production en termes de teneur en protéines du grain, le besoin unitaire en azote des variétés intègre depuis 2017 un objectif protéines pour concilier à la fois rendement...
Les blés améliorants ou de force (BAF) ont des besoins en azote supérieurs aux autres types de blé tendre du fait des exigences plus élevées en protéines requises pour leur utilisation. On parle de besoins pour un objectif qualité, ou « bq ». Ces...
La qualité du blé dur à la récolte dépend étroitement de sa teneur en protéines. L’objectif est d’atteindre 14 % pour limiter le mitadinage et produire des pâtes d’une tenacité suffisante. La conduite de la fertilisation azotée est primordiale pour...
Le reliquat de sortie d’hiver (RSH) est déterminant dans le calcul des besoins en azote des cultures. Dans un contexte de disponibilité en engrais tendu, il est conseillé de le réaliser tôt afin de raisonner le premier apport d’azote (stade tallage)...
La flambée actuelle des prix de l’azote oblige à potentiellement revoir les stratégies de fertilisation du blé dur. Voici quelques préconisations et réflexions pour valoriser au mieux les apports dans ce contexte particulier.
Certaines parcelles semées en octobre atteindront parfois le stade début tallage avant fin décembre. C’est le moment de raisonner la stratégie de fertilisation azotée et notamment le premier apport.
La tension sur le marché des engrais laisse présager que de nombreuses commandes ne pourront pas être honorées à temps pour les apports d’azote au printemps prochain. Dans les situations où les besoins en approvisionnement n’auront pas été...
La protection des céréales à paille contre la jaunisse nanisante de l’orge repose sur la lutte préventive puis, si besoin, sur la lutte directe contre les pucerons vecteurs de virus. Nathalie Robin, spécialiste de la protection contre cette maladie...
A l'approche de la floraison des céréales, il est important d'évaluer le risque de contamination des épis par la fusariose pour intervenir si besoin. Cette maladie provoque une nécrose précoce d’un ou plusieurs épillets suivie le plus souvent d’un...
Il est toujours possible de corriger une carence en azote jusqu’à la fin de la montaison des céréales. La plante a capacité à convertir cet azote à la fois en grains et en protéine, sous réserve de cumuler une pluviométrie suffisante suite à...
Les blés les plus précoces atteignent les stades critiques de besoins en eau : dernière feuille pointante (DFP) / dernière feuille étalée (DFE) voire gonflement. L’absence de pluies conséquentes depuis mi-février a entraîné dans une majorité de...
Dans la plupart des situations, les besoins en azote des céréales sont encore modérés et couverts par la minéralisation du sol. Mais les stocks sont faibles sur les sols superficiels et s’amenuisent dans les sols les plus profonds. La demande des...
Dans les situations où il s’avère nécessaire, le premier apport d’azote peut être effectué sur les blés dès que les parcelles seront praticables. Retour sur le raisonnement de cet apport.
Evaluer les reliquats d'azote dans le sol permet de piloter la fertilisation au plus près des besoins de la culture. Comment prélever la terre afin de réaliser une mesure fiable ? Explications en vidéo.
Depuis février 2018, Kubota développe au Japon trois types de véhicules autonomes pour la filière riziculture. Suivons en vidéo le tracteur, la planteuse et la moissonneuse en test.
Bien gérer son irrigation, c’est préserver les ressources hydriques en mettant en relation éléments naturels et nouvelles technologies.
La télégestion de l’irrigation permet aujourd’hui d’optimiser les apports d’eau. Visite en vidéo de trois exploitations du Sud-Ouest qui utilisent ces nouvelles méthodes de pilotage des cultures irriguées.
L'ajustement de la dose d'engrais azotés à la parcelle passe par un calcul rigoureux des besoins en azote du maïs et des fournitures totales en azote du sol (reliquat au semis, minéralisation de l'humus...). Pour viser une efficacité maximale, le...
Ni trop faible, ni trop élevé, le taux de protéines des orges doit être compris entre 9,5 et 11,5 % pour répondre au cahier des charges brassicoles. Cela passe par une fertilisation azotée dosée au plus juste.
Les chantiers de récolte des dérobées ont déjà démarré dans les zones les plus précoces. Dans les autres situations, il importe de faire le tour des parcelles pour évaluer le stade de développement. Rappelons qu’une récolte précoce permet d'obtenir...
Le phosphore (P) et le potassium (K) sont des éléments majeurs pour la croissance des plantes. Ils contribuent respectivement au développement racinaire et à la croissance foliaire. Ils influencent donc la productivité et la pérennité des prairies....
Les cultures semées à l’automne ont généralement besoin de températures basses pour fleurir au printemps. Si elles sont semées au printemps, elles restent le plus souvent végétatives et ne produisent pas d’épis. Le processus physiologique...
La fertilisation azotée de la pomme de terre est un des leviers majeurs pour optimiser le rendement et la qualité des tubercules. Le raisonnement des apports d’azote repose en premier lieu sur une estimation correcte des besoins de la plante pour...
Pour s’assurer de la qualité de conservation du maïs fourrage, la surveillance de la température du silo et des observations visuelles et olfactives donnent un aperçu rapide de l’état de l’ensilage. Au besoin, une analyse pourra compléter ce premier...
Obtenir un rendement en fibre élevé nécessite le bon déroulement de certaines étapes de l’itinéraire technique, en assurant notamment une croissance régulière des lins tout au long du cycle. Dans cette optique, ARVALIS met à disposition un guide de...
Ce nouveau numéro d’ARVALIS & Terres Inovia infos rassemble quelques préconisations en matière de désherbage, de fertilisation et de protection des blés et colzas en cours de croissance, ainsi que des rappels pour implanter des protéagineux de...
Les effluents d’élevage peuvent couvrir de 30 à 80 % des besoins en fertilisants du maïs fourrage.
Dans bon nombre de secteurs, les reliquats azotés sont encore aujourd’hui élevés, conduisant à des doses prévisionnelles d’azote faibles à très faibles. Dans ces situations, il convient de privilégier un apport unique au moment où les besoins du...
La mesure du pHeau du sol suffit pour faire un diagnostic d’acidité et prendre la décision de chauler. Tant qu’il ne descend pas au-dessous de 6, l’apport d’amendement minéral basique peut être différé d’un an sans risque sur le rendement. En-deçà,...
Dans les situations à forts reliquats azotés, l’impasse de l’apport au tallage des céréales était le premier réflexe à adopter cette année. Le deuxième va être de piloter les apports durant la montaison pour les ajuster aux réels besoin des...
Dans les situations comme 2016, les éleveurs peuvent anticiper un manque de fourrage en récoltant des céréales immatures. La quantité d’ensilage variera selon les stocks et les besoins du troupeau. Voici quelques repères pour mener à bien ces...
Pour valoriser au mieux les apports azotés sur maïs, il faut intervenir au bon moment par rapport aux besoins de la plante et bien choisir la modalité d’apport pour éviter les pertes par volatilisation.
L'apport au stade épi 1 cm intervient en début montaison des céréales, c’est-à-dire au moment de la reprise de croissance de la culture et donc lorsque les besoins en azote sont forts. Plusieurs facteurs peuvent jouer sur son efficacité.
La modulation des apports d’engrais est souvent confondue avec le diagnostic de nutrition azotée réalisé sur les plantes. Ce diagnostic est primordial car il permet d’ajuster la dose complémentaire à apporter en fonction des besoins de la plante....
Les besoins de magnésium (MgO) de la plupart des espèces de grandes cultures sont faibles : ils avoisinent 30 kg MgO/ha. Le plus souvent, la biodisponibilité de cet élément dans le sol est suffisante pour assurer une alimentation des cultures non...
Certaines zones de production sont soumises à un plafond qui limite les apports de fertilisants organiques et minéraux. ARVALIS - Institut du végétal a identifié des leviers techniques pour limiter les baisses de rendement dans ces circonstances.
Afin de suivre au plus près les besoins azotés du blé tout au long de son cycle, il est recommandé de fractionner l'azote en trois apports. Le premier est apporté au stade tallage, le second au stade épi 1 cm, et le dernier entre le stade 2 noeuds...
Sans avoir le premier rôle, la variété participe à la richesse en protéines des grains à la récolte. Mais il faut aussi compter sur le pilotage de la couverture des besoins en azote de la culture pour atteindre les objectifs de rendement,...
Face au constat que les besoins en azote d'une culture de blé entre le semis et le stade épi 1 cm sont faibles et que dans la plupart des situations la fourniture du sol est capable de les couvrir, ARVALIS dans la région Centre Est a testé la...
Une irrigation bien conduite permet de gagner 5 à 8 q/ha pour un apport de 30mm, mais il faut pour cela tenir compte des besoins en eau des céréales à chaque stade de leur développement, ainsi que des réserves en eau du sol. L'adaptation de la...
Si il est possible aujourd'hui de déterminer précisément les besoins en azote du blé, l'objectif est également de diminuer la consommation en engrais azotés. Deux leviers d'action peuvent être mis en jeu : l'amélioration de l'efficacité des engrais...
Les travaux d'ARVALIS - Institut du Végétal montrent que les cultures intermédiaires peuvent constituer une ressource intéressante pour les élevages qui ont du mal à couvrir les besoins alimentaires de leurs animaux. Radis, avoine et colza...
Claude Tabel, Directeur de la Recherche chez RAGT-Semences explique en quoi consiste le métier du sélectionneur et quels sont les enjeux de la sélection pour les années à venir. La production de variétés plus tolérantes à la sécheresse fait partie...
Le zinc est un élément essentiel pour le lin. Les besoins de la culture sont évalués entre 50 et 300 g/ha selon les conditions climatiques. Il est indispensable d'en apporter.
La plante consomme la moitié de ses besoins entre la levée et le stade 15 cm. Bien enraciné, il mobilise l'azote minéral des couches les plus profondes ; c'est pourquoi la réponse à l'engrais azoté est variable.
L’objectif de la culture est de produire un fourrage en quantité et en qualité satisfaisantes par rapport aux besoins de l’éleveur et de son troupeau. Le stade optimum de récolte est entre 30 et 35 % MS à la récolte. Pour cela, les besoins de la...
Les surfaces de maïs fourrage sont stables depuis plusieurs années, et cette culture est présente dans la majorité des régions françaises. Etant la base de l’alimentation hivernale des troupeaux laitiers, sa présence est fortement liée à la...
L’espèce idéale est celle qui s’adaptera le mieux à votre exploitation. Avant de choisir les espèces à implanter, il faut connaître les contraintes pédoclimatiques et les besoins fourragers à l’échelle de son exploitation.