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Les proportions de fibres digestibles et d’amidon d’un maïs fourrage déterminent son profil énergétique. Ces indicateurs sont utiles pour le rationnement des vaches laitières ou des bovins à l’engraissement, afin de déterminer le niveau et le type...
Après un été difficile, les rendements du maïs fourrage sont meilleurs que prévus. Côté qualité, la situation est très contrastée : des maïs bien pourvus en grains et riches en amidon à l’Ouest et dans la bordure maritime Nord, jusqu’à des maïs avec...
A la demande de l'entreprise John Deere, ARVALIS a conduit au printemps 2019 des essais pour comparer les effets du liage des balles par film plastique par rapport au liage classique par filet sur la conservation de l'herbe enrubannée.
L’ensilage de maïs épi désigne le produit issu de la récolte de l’épi complet (grain, rafle et tout ou partie des spathes et du pédoncule), broyé et conservé par ensilage. Cette forme de récolte peut être valorisée chaque année ou de manière...
Pour évaluer l’intérêt de cette technique de récolte du maïs fourrage venue des Etats-Unis, ARVALIS et ses partenaires l’ont mise à l’épreuve dans les conditions françaises en 2018.
Bien évidemment, les conditions météorologiques sont déterminantes pour faire sécher rapidement le fourrage. Mais il importe également de bien comprendre les différentes phases de séchage pour adapter l’itinéraire technique de récolte.
Attention aux foins récoltés humides, ils sont particulièrement sensibles à l’échauffement durant la phase de conservation.
Les chantiers de récolte des dérobées ont déjà démarré dans les zones les plus précoces. Dans les autres situations, il importe de faire le tour des parcelles pour évaluer le stade de développement. Rappelons qu’une récolte précoce permet d'obtenir...
Renoncules, galéga officinal ou digitale : la flore des prairies est riche, mais elle recèle parfois des plantes toxiques pour le bétail, même si les cas d’intoxication restent rares. Certaines plantes sont bien connues, d’autres moins. Revue de...
En 2019, le printemps froid a ralenti le démarrage des maïs. Puis, le début de l’été très sec, couplé à des températures élevées autour de la floraison, a pénalisé le potentiel en grains. Malgré ces aléas, la qualité des ensilages de maïs 2019 est...
Les couverts végétaux présentent de bonnes valeurs nutritives pour les animaux (96 g PDI/UFL en moyenne). Leur utilisation au pâturage ou en affouragement en vert nécessite toutefois une étude préalable de leur valeur énergétique et azotée ainsi...
Tous les maïs fourrages ne se ressemblent pas. Il existe des différences significatives de composition chimique et de valeurs alimentaires, qui influencent les performances animales. Il est donc nécessaire de faire analyser son fourrage à la récolte...
Les évolutions climatiques influent sur les conditions de la récolte et la manière de réaliser les ensilages de maïs. Anthony Uijttewaal, spécialiste en production de fourrage chez ARVALIS, rappelle le cadre dans lequel utiliser un additif de...
L’enrubannage permet de réaliser de petits chantiers et constitue ainsi un mode de récolte privilégié pour la gestion des excédents de pâturage ou les surfaces gérées « au cas par cas » comme les luzernières.
Derrière le terme de « conservateurs », plusieurs types d’additifs se distinguent par leur rôle et leur mode d’action. Certains ont pour objectif d’accélérer l’acidification naturelle de l’ensilage, d’autres d’améliorer la stabilité aérobie. Ces...
Pour s’assurer de la qualité de conservation du maïs fourrage, la surveillance de la température du silo et des observations visuelles et olfactives donnent un aperçu rapide de l’état de l’ensilage. Au besoin, une analyse pourra compléter ce premier...
La sécurisation des systèmes fourragers est au cœur des préoccupations de nombreux éleveurs. Elle passe notamment par l’introduction de mélanges de céréales à paille et de légumineuses, communément appelés méteils. Pour aider les agriculteurs, les...
Retrouvez dans ce numéro spécial les résultats d’analyse de plus de 8500 échantillons de maïs prélevés au moment de l’ensilage ou à l’ouverture du silo. Ils donnent un aperçu de la composition et des valeurs nutritives des maïs fourrage récoltés en...
ARVALIS a simulé l’impact de l’introduction de la luzerne dans une ferme-type de polyculture-élevage des Pays de la Loire. L’exploitation améliore nettement son indépendance vis-à-vis des concentrés protéiques, mais le bilan économique reste assez...
Teneur en amidon, digestibilité, valeur énergétique… retrouvez les résultats qualité de près de 8500 échantillons de maïs ensilés en 2018 et quelques recommandations pour leur utilisation.
Ultra-précoce, voilà le mot qui caractérise la campagne 2018 en maïs fourrage. Bien qu’hétérogènes, les rendements 2018 se maintiennent à des niveaux honorables, meilleurs que ceux prévus au cœur de l’été.
Né aux États-Unis en 2008 et apparu en France en 2015, l’ensilage du maïs en brins longs est une technique de récolte connue sous le nom de shredlage. Ses inventeurs lui prêtent de multiples vertus nutritionnelles mais qu’en est-il vraiment ?...
La composition chimique d’un maïs fourrage permet de calculer sa valeur alimentaire ; sa valeur énergétique est évaluée d’après des modèles récemment réajustés. Connaître la provenance de cette énergie est essentiel pour bien ajuster la ration.
Un maïs ensilé au-delà de 35 % perd de sa digestibilité et demande quelques ajustements dans la gestion des rations et du silo.
Au sommaire : bilan de la campagne 2017, avec les résultats de composition et l’estimation de la valeur nutritionnelle des maïs fourrages.
Les proportions de fibres digestibles et d’amidon d’un maïs fourrage déterminent son type de profil énergétique. Celui-ci dépend de son utilisation finale et de l’adjonction ou non d’un fourrage complémentaire dans la ration.
Des implantations précoces, un printemps favorable à la mise en place de la culture et un été propice au remplissage des grains expliquent les bons résultats obtenus en 2017, en rendement comme en valeur alimentaire. Par rapport à 2016, les...
Dans un contexte économique peu porteur, le pâturage reste une nécessité pour les éleveurs. Or, les aléas climatiques sont de plus en plus fréquents, avec notamment des sécheresses plus marquées. ARVALIS a comparé les performances animales et la...
La nouvelle édition ARVALIS & Terres Inovia infos consacrée aux fourrages et tourteaux est disponible ! Retrouvez des préconisations pour optimiser la conduite et la valorisation des prairies, du maïs, des légumineuses et des oléagineux.
L’implantation de prairies multi-espèces est une solution à envisager pour gagner en autonomie fourragère. Ces prairies associant plusieurs graminées et légumineuses sont plus résistantes aux stress climatiques et nécessitent peu ou pas d’apports...
Les connaissances sur la digestibilité et la valeur énergétique des maïs fourrages se précisent et permettent d'améliorer les modèles de prévision de la valeur alimentaire de l’ensilage au travers de nouveaux critères. L’ensemble des équations...
Le maïs fourrage ensilé est utilisé de quelques semaines à plusieurs mois après la confection du silo. Sous réserve que les bonnes pratiques de récolte, conservation et vitesse d’avancement, soient respectées, les ensilages sont considérés comme...
Au sommaire : bilan de campagne 2016 (conditions de culture, composition et valeurs nutritionnelles de la récolte), focus sur les derniers résultats en matière de calcul prédictif des critères qualité du maïs fourrage.
Cette année encore, les stades de récolte du maïs ont souvent été dépassés. Les ensilages trop secs devront faire l’objet de toutes les attentions à l’ouverture et pendant l’exploitation des silos pour les valoriser au mieux.
La nouvelle édition ARVALIS & Terres Inovia infos consacrée aux fourrages et tourteaux est disponible ! Retrouvez des préconisations pour optimiser la conduite et la valorisation des prairies, du maïs, des couverts et des oléoprotéagineux en...
Dans un grand nombre de cas, les fortes pluies des mois derniers ont engendré des conditions de portance très limites dans les prairies pâturées conduisant à du piétinement et à leur dégradation. Voici quelques rappels techniques pour les restaurer...
Pour pallier le déficit fourrager, les pailles de céréales peuvent être utilisées comme fourrage d’appoint dans les rations, mais avec certaines précautions selon le type d’animaux.
Pour faire face au déficit fourrager, l’ensilage de céréales immatures peut constituer une solution de secours. Comment les valoriser dans les rations des ruminants ? Existe-t-il un risque sanitaire à utiliser des céréales touchées par la...
Les conditions climatiques du printemps 2016 risquent d’entraîner dans de nombreuses exploitations d’élevage un déficit fourrager. Pour y faire face, plusieurs pistes sont possibles : implanter dès que possible des couverts en dérobées, ensiler une...
Dans de nombreuses régions, les conditions de portance et le peu de fenêtres météorologiques favorables ont rendu difficile voire impossible la fenaison des prairies jusqu'à aujourd'hui. Les stades sont très avancés, certaines parcelles...
Les jours de gel survenus la semaine dernière (0 à -3°C pendant quelques heures) lors de la phase de préfanage ont eu pour principal effet d'allonger un peu la durée de séchage au champ du fait d’un moindre pouvoir évaporant de l’air. Qu’en est-il...
Au sommaire : bilan de campagne 2015 avec un point qualité sur les valeurs nutritionnelles et la digestibilité des parties végétatives.
Face à la volatilité des cours des matières premières, à la baisse du prix des broutards et aux exigences environnementales, la valorisation de l’herbe dans les rations d’engraissement apparaît économiquement intéressante.
Au sommaire : valorisation des germes de maïs, coproduits issus du process de l’amidonnerie humide, impact du stade de récolte sur la digestibilité totale et la dégradabilité ruminale du maïs fourrage.
Le retour des pluies ces dernières semaines couplé à des températures encore douces favorise le redémarrage de la pousse de l’herbe et donc la reprise du pâturage. Même si dans bon nombre de région, cette repousse automnale ne suffira pas à couvrir...
Relever la barre de coupe de 30 à 40 cm par rapport à la hauteur standard de 15 cm augmenterait la concentration énergétique du fourrage récolté. L’objectif est d’ajuster plus facilement les rations pour les animaux à haut niveau de production.
La nouvelle édition ARVALIS & Terres Inovia infos consacrée aux fourrages et tourteaux est disponible ! Retrouvez des préconisations pour optimiser la conduite et la valorisation des prairies, du maïs et du colza.
La sécheresse a conduit cette année à une moindre production de fourrage. Dans ce contexte, il est possible d’intégrer de la paille de céréales, et surtout de blé, dans les rations de bovins, sous certaines conditions.
Les sorghos se caractérisent par la diversité de leurs usages. Dans des contextes restrictifs en eau, ils peuvent se révéler plus compétitif que le maïs. Afin de mieux s’y retrouver, un classement des sorghos monocoupe vient d’être établi.
Le pôle Valorisation animale d’ARVALIS – Institut du végétal informe la filière alimentation animale de ses résultats de recherche.
La culture de sorgho, plante particulièrement adaptée aux conditions séchantes, contribue à la constitution de stocks fourragers ensilés de bonne qualité. Les différents types de sorghos offrent de nombreuses possibilités de valorisation par les...
En avant première, téléchargez le nouvel ARVALIS – CETIOM Infos dédié aux fourrages et tourteaux.
Les légumineuses présentent deux avantages : une pousse relativement stable dans le temps, en particulier lors de la période estivale et une bonne valeur alimentaire. Elles sont d'autant plus intéressantes lorsqu'elles sont associées aux graminées.
Téléchargez le nouveau dépliant d’ARVALIS – Institut du végétal, qui récapitule les grandes étapes pour la réussite du maïs fourrage.
Retour sur une campagne marquée par des conditions climatiques capricieuses. Globalement, les rendements et la qualité sont corrects mais les résultats sont hétérogènes selon les régions.
Au lieu d’ensiler du maïs entier, certains élevages ensilent leurs excédents de maïs fourrage en épis complets. Sur la ferme expérimentale de Saint-Hilaire-en-Woëvre, cette ration de base, très bien consommée par de jeunes bovins charolais, leur a...
Des régimes produits sur les exploitations, à base d’enrubannage de fétuque élevée ou de luzerne et de blé, conviennent pour engraisser des génisses limousines « rajeunies », présentant des viandes très claires et des gras blancs.
Le sorgho fourrager présente l’avantage d’être moins sensible à la sécheresse que le maïs fourrage mais affiche en moyenne des rendements moins élevés. L’association des deux cultures dans la ration d’engraissement des jeunes bovins peut être une...
En avant première, téléchargez sur ARVALIS-Infos.fr le nouvel ARVALIS - CETIOM Infos dédié aux fourrages et tourteaux.
Certaines plantes présentent dans les prairies ou aux abords peuvent contenir des substances toxiques pour le bétail. Passage en revue des plantes les plus couramment rencontrées, ou celles pour lesquelles les éleveurs se posent des questions suite...
Le concentré protéique de luzerne est très bien valorisé par les porcs. Il peut se substituer au tourteau de soja.
Les aléas climatiques pouvant intervenir à n'importe quelle période de l’année, il convient de diversifier au maximum son système fourrager afin de ne pas les subir de plein fouet. Les systèmes mixtes associant prairies, fourrages annuels et...
Les travaux d'ARVALIS - Institut du Végétal montrent que les cultures intermédiaires peuvent constituer une ressource intéressante pour les élevages qui ont du mal à couvrir les besoins alimentaires de leurs animaux. Radis, avoine et colza...
En avant première, retrouvez le nouveau numéro d’ARVALIS – CETIOM Infos sur www.arvalis-infos.fr. Au sommaire : conduite des cultures fourragères et utilisation des fourrages et tourteaux en alimentation animale.
Depuis plus de dix ans, malgré la baisse de l'effectif laitier, les surfaces de maïs fourrage sont relativement stables et couvrent environ 1,4 million d'hectares.
Fournir des références aux producteurs de jeunes bovins et aux acteurs de la filière viande : telle est la vocation de la station expérimentale d’engraissement de jeunes bovins située à Saint-Hilaire-en-Woëvre en Lorraine. Pour faire vivre ce...
A la récolte, un équilibre doit être établi entre les caractéristiques de la plante et sa valorisation par le troupeau laitier. Le choix variétal joue un rôle important puisqu'il influe sur la valeur énergétique.
L’adaptation fine de la riche offre génétique maïs aux contraintes de chaque territoire est l’enjeu des années à venir pour apporter des réponses dans chaque système fourrager.
L’objectif de la culture est de produire un fourrage en quantité et en qualité satisfaisantes par rapport aux besoins de l’éleveur et de son troupeau. Le stade optimum de récolte est entre 30 et 35 % MS à la récolte. Pour cela, les besoins de la...
Les rendements moyens varient régionalement de 12 à 18 tMS/ha suivant les conditions de végétation, et notamment les types de sols, les disponibilités en températures et en eau.
Face aux évolutions récentes du prix des matières premières riches en protéines (tourteau de soja…), les légumineuses fourragères présentent de nombreux atouts pour améliorer l’autonomie protéique des exploitations de polyculture élevage. Elles...
Les couverts végétaux sont mis en place pour éviter l’érosion ou pour réduire la lixiviation des nitrates. Leur valorisation par le pâturage offre une solution intéressante aussi bien techniquement qu’économiquement, notamment lorsque les stocks...
Face à la pénurie de fourrages que connaît l’élevage suite aux conditions sèches du printemps 2011, de nombreux éleveurs cherchent à compléter leurs stocks ou à prolonger le pâturage à l’automne. Les cultures fourragères semées en dérobé après les...
Les légumineuses présentent deux avantages : une pousse relativement stable dans le temps, en particulier lors de la période estivale, et une bonne valeur alimentaire.
La flore d’une prairie est très complexe. Sa dégradation peut être rapide. Le maintien d’une prairie de qualité est avant tout lié à des pratiques adaptées d’exploitation.