En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des contenus adaptés à votre région et réaliser des statistiques.
Pour ajuster les apports en phosphore et en potassium, il est important de connaître ce que le sol contient au départ. Revue de détails des teneurs seuils par région et type de sol établies par ARVALIS.
La chasse aux idées reçues sur le raisonnement du chaulage est ouverte ! Découvrez une série de fiches pour décider d’une intervention et du choix de l’amendement.
Suivant le niveau d'exigence de la culture et la teneur en PK dans le sol, il est possible ou non de réaliser une impasse. Le passé de fertilisation et la restitution ou non des résidus de culture du précédent sont également des éléments à prendre...
Des sols trop acides peuvent être à l’origine de pertes de rendement significatives pour des cultures sensibles, comme l’orge, les légumes ou la luzerne. Une analyse de terre est incontournable pour assurer le diagnostic et bâtir une stratégie de...
Les engrais contenant de l’azote ammoniacal sont sensibles aux pertes par volatilisation, particulièrement les lisiers. Ce phénomène est d'autant plus marqué par temps sec et chaud. L’enfouissement rapide après l’apport est un moyen très efficace...
Cette carence est de plus en plus fréquente, en particulier dans les terres légères (soufflées, aérées) ou dans les sols acides dont le pH a été trop augmenté. Retrouvez en vidéo les symptômes caractéristiques pour la repérer. Un apport foliaire dès...
Le phosphore (P) et le potassium (K) sont des éléments majeurs pour la croissance des plantes. Ils contribuent respectivement au développement racinaire et à la croissance foliaire. Ils influencent donc la productivité et la pérennité des prairies....
En pH acide, l’aluminium devient toxique. Certaines espèces sont particulièrement sensibles à cette toxicité.
Entre exigence des cultures et disponibilités dans le sol, les apports en phosphore et potassium doivent faire l’objet d’un diagnostic juste et adapté. Pour cela, il est nécessaire de s’appuyer sur des analyses de terre, de bien choisir l’engrais et...
Les effluents d’élevage peuvent couvrir de 30 à 80 % des besoins en fertilisants du maïs fourrage.
La mesure du pHeau du sol suffit pour faire un diagnostic d’acidité et prendre la décision de chauler. Tant qu’il ne descend pas au-dessous de 6, l’apport d’amendement minéral basique peut être différé d’un an sans risque sur le rendement. En-deçà,...
Suite à la mauvaise récolte 2016, ARVALIS – Institut du végétal propose une série de fiches pour identifier les postes d’économies possibles sur la conduite des céréales et leurs enjeux sur le rendement. Parmi les premiers postes de charges...
La localisation de l’engrais au semis du maïs permet d’apporter le phosphore, élément peu mobile, à proximité des racines, ce qui se traduit par une meilleure vigueur au départ. Cette pratique est particulièrement recommandée lorsque les conditions...
La mise en place de couverts végétaux piège à nitrate durant l’interculture contribue à limiter le phénomène d’acidification du sol par deux effets conjugués.
Les effluents d’élevage sont le plus souvent alcalinisants. Certes, l’azote organique et ammoniacal et le soufre organique qu’ils contiennent contribuent à l’acidification du sol, mais celle-ci est généralement plus que compensée par les anions...
Dans les situations nécessitant un redressement d’urgence, c’est-à-dire lorsque le pHeau est inférieur à 5,5 et que le délai entre l’apport et l’implantation de la culture suivante est court, les produits à action rapide tels que les chaux et...
Contrairement aux idées reçues, ce n’est pas le calcium des amendements calcaires qui a le pouvoir d’augmenter le pH d’un sol, mais l’anion qui l’accompagne.
Les effets des amendements minéraux basiques sont multiples. Ils peuvent être bénéfiques dans certains sols mais négatifs dans de nombreuses situations. En l’absence de légumes dans la rotation, un pHeau proche de 6 à 6,5 est un bon compromis.
Pour chasser les idées reçues sur le raisonnement du chaulage, découvrez la première fiche consacrée aux indicateurs à prendre en compte pour décider d’un apport.
Une large gamme d’amendements basiques est disponible sur le marché. Ils présentent une grande diversité de caractéristiques physiques (granulométrie, dureté…) et chimiques (nature de la base et des cations, solubilité…) ainsi que des prix à l'unité...
Les besoins de magnésium (MgO) de la plupart des espèces de grandes cultures sont faibles : ils avoisinent 30 kg MgO/ha. Le plus souvent, la biodisponibilité de cet élément dans le sol est suffisante pour assurer une alimentation des cultures non...
Diagnostiquer un risque de carence en soufre c’est possible. La quantité de sulfate disponible pour la culture en place dépend du type de sol, du passé de fertilisation organique, de la pluviosité hivernale, et de l’apport de soufre sur le...
Deux facteurs principaux doivent être pris en compte pour choisir la meilleure modalité d’apport des engrais phosphatés et potassiques : la teneur du sol en ces éléments, et le niveau d’exigence de la culture en place. Une attention particulière...
Le diagnostic d’une carence est une tâche complexe. En effet, si les symptômes de carence sont spécifiques pour chaque élément, ils peuvent être confondus ou masqués par d’autres facteurs. C’est pourquoi il est primordial d'observer précisément et...
Entretien ou redressement du pH : les stratégies de chaulage diffèrent selon les parcelles et conditionnent la forme et la dose d’amendement.
Pour une efficacité maximum, le fertilisation du maïs par le fumier de bovins doit s'effectuer deux mois avant le semis. Mais pour encore mieux adapter la fertilisation, ARVALIS propose un outil sur son site pour optimiser la fertilisation avec des...
L’apport de magnésie peut être bloqué sur d’autres cultures, mais il est préférable d’effectuer cette fertilisation sur pomme de terre en cas d’apport massif de potassium, en raison de l’antagonisme potassium – magnésium.
La pomme de terre est une culture exigente en phosphore et en potassium. Le raisonnement sur l'apport des doses est donc une étapes essentielle qui se base sur l'analyse de sol et la méthode COMIFER.
L’acidification des sols peut avoir des conséquences sur la disponibilité de certains minéraux dans le sol, avec des risques de déficiences ou de carences.
Les apports de phosphore et de potassium peuvent être réalisés en sortie d’hiver principalement lorsqu’ils ont pour objectif le maintien de la fertilité du sol.
La méthode « Comifer » de calcul des doses de fertilisant P et K, mise au point dans les années 90, a fait l’objet d’un « toilettage » récent. Si les principes de départ n’évoluent pas, les grilles de calculs sont actualisées avec les nouvelles...
La gamme des amendements disponibles sur le marché est large ainsi que la fourchette des prix à l'unité neutralisante. On distingue les produits cuits (chaux vive ou chaux magnésienne vive) et les produits crus (amendements calcaires ou calcaires et...
Pour éviter la toxicité de l'aluminium, il faut maintenir le pH eau du sol au-dessus du seuil où cette toxicité apparaît. Le maintien du pH eau au dessus de 5.5 permet ainsi de limiter ce risque dans la plupart des sols, mais compte tenu de la...
Le fait que la toxicité de l’aluminium soit principalement contrôlée par le pH confère à la mesure du pH eau le statut d’indicateur privilégié pour diagnostiquer les risques liés à l’acidité des sols.
Quand le pH eau s’abaisse au-dessous d'un certain seuil, l'aluminium présent en grande quantité dans tous les sols est libéré sous des formes toxiques pour la plupart des espèces cultivées.
Les nouvelles références d’exportations du COMIFER modifient légèrement les grilles de calculs de doses.
Lorsqu’elle est excessive, l’acidité du sol peut nuire à la productivité des prairies. Il est donc essentiel de faire le point sur les mécanismes en jeu et les solutions pour corriger cette acidité.
Les fertilisations phosphatée et potassique sont fondamentales pour assurer la mise en place des racines des espèces prairiales.